Andrzej Żuławski : "J'ai appris la patience"

En avril 2000, à la une d'Aden, le supplément du Monde, s'affiche un portrait du cinéaste polonais dessiné spécialement pour l'occasion par Enki Bilal. Après une éclipse, l'auteur de L'Important, c'est d'aimer revenait au premier plan avec La Fidélité, adaptation furieuse et très personnelle de La Princesse de Clèves. Moins frénétique, mais toujours absolu, Żuławski livrait un film où l'acide se répand désormais lentement.


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