Le réalisateur de Marius et Jeannette reprend sa chronique de la vie - une vie de lutte, de revendications et d'espoirs - marseillaise. Ça broie du noir, mais ça donne du rose aux joues. La ville est tranquille s'achève, dit-il, sur "un épilogue plutôt optimiste, qui dit qu'un jeune émigré, à Marseille, aujourd'hui, peut jouer de la très belle musique sur un très beau piano acheté,grâce à la générosité des passants..."
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