S’intéressant à d’autres formes de narration, elle arrête le journalisme en 1998 et réalise plusieurs films documentaires et de fiction. Sélectionnés dans une centaine de festivals en France et dans le monde, ses films reçoivent de nombreuses récompenses dont le Prix Albert Londres, un Léopard d’or vidéo au festival de Locarno ou la Villa Médicis hors-les-murs.
Dans les champs de bataille, en 2004, est son premier long-métrage. Il obtient le Prix Europa à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, le Grand Prix à la Biennale du film de l'Institut du monde arabe et le Grand Prix au Festival du film de Milan.
Son film suivant, Un homme perdu (2007), avec Melvil Poupaud, s'inspire des errances photographiques d'Antoine d'Agata, consultant au scénario.
On retrouve dans Beyrouth Hotel (2011), présenté au festival de Locarno et diffusé sur Arte en janvier 2012, cet univers sensuel qu'aime dépeindre la cinéaste dans un monde secoué de violences et de peurs mystérieuses. Les allusions politiques ont par ailleurs provoqué au Liban une censure y interdisant la diffusion du film...
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S’intéressant à d’autres formes de narration, elle arrête le journalisme en 1998 et réalise plusieurs films documentaires et de fiction. Sélectionnés dans une centaine de festivals en France et dans le monde, ses films reçoivent de nombreuses récompenses dont le Prix Albert Londres, un Léopard d’or vidéo au festival de Locarno ou la Villa Médicis hors-les-murs.
Dans les champs de bataille, en 2004, est son premier long-métrage. Il obtient le Prix Europa à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, le Grand Prix à la Biennale du film de l'Institut du monde arabe et le Grand Prix au Festival du film de Milan.
Son film suivant, Un homme perdu (2007), avec Melvil Poupaud, s'inspire des errances photographiques d'Antoine d'Agata, consultant au scénario.
On retrouve dans Beyrouth Hotel (2011), présenté au festival de Locarno et diffusé sur Arte en janvier 2012, cet univers sensuel qu'aime dépeindre la cinéaste dans un monde secoué de violences et de peurs mystérieuses. Les allusions politiques ont par ailleurs provoqué au Liban une censure y interdisant la diffusion du film.
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