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Front russe, 1943. Tandis que les Allemands battent en retraite, deux militaires s'affrontent : Stransky, l'aristocrate prussien et Steiner, le baroudeur.
Péninsule de Taman, 1943. Les armées allemandes battent en retraite. Au régiment que commande le Colonel Brandt arrive un nouveau Commandant de Bataillon, Stransky, aristocrate prussien, qui s'est porté volontaire pour le front russe afin d'en rapporter une Croix de fer, symbole convoité de bravoure. De fait, une antipathie profonde s'instaure aussitôt entre ce dernier et le sergent Steiner, un baroudeur aimé de ses hommes et qui méprise les officiers... Très controversé à sa sortie (mais comme pratiquement tous les films de l'auteur des "Chiens de paille" et "La Horde sauvage"), "Croix de fer" est moins un film de guerre classique qu'un pamphlet sur la haine et la rage de survivre des hommes. De l'impressionnant générique à la citation finale (Brecht, en passant), Peckinpah ménage ses moments de bravoure dans un réquisitoire où l'on retrouve son penchant pour la violence, soudaine suspendue, et insoutenable.
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"Un film très violent et très beau (...) d'un réalisme qui peut parfois apparaître comme une concession
"Un film très violent et très beau (...) d'un réalisme qui peut parfois apparaître comme une concession visuelle et qui est en fait une narration précise, dont le propos est encore souligné à la fin du film par cette phrase de Brecht : Ne vous réjouissez pas de la défaite du monstre, car, à travers le monde qui l'installa puis le stoppa, la putain qui l'a engendré est de nouveau en chaleur..."
La rédaction"Une guerre dont le réalisateur impose la présence avec la force, le lyrisme tragique qui caractérise son talent.
"Une guerre dont le réalisateur impose la présence avec la force, le lyrisme tragique qui caractérise son talent. Visages écrasés, corps éclatés, ruisseaux de sang, combats à l'arme blanche, apocalypse des bombardements, sadisme, folie, horreur totale que prolonge et décompose le ralenti. Impossible, cette fois, d'accuser Peckinpah de complaisance : la guerre, c'est bien cela, cette boucherie, ce monstrueux holocauste."
La rédaction" Au départ, un tournage chaotique qu'accentuent le manque d'argent et l'état de délabrement physique
" Au départ, un tournage chaotique qu'accentuent le manque d'argent et l'état de délabrement physique d'un Peckinpah imprévisible et violent. A l'arrivée, un concert de louanges couronné par une lettre d'Orson Welles, qui considère Croix de fer comme « le plus fin des films antimilitaristes qu'il ait jamais vu ». Il faut dire que les soldats perdus d'une armée en déroute ne sont jamais transfigurés par un quelconque espoir.
Cette oeuvre maîtresse du genre est la parabole d'un pacifisme impossible et, au travers de son lyrisme noir et de son cynisme amer, elle touche plus profondément au contenu mythologique de la guerre."
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