Belle et sans attaches, Eléonore déambule, curieuse, dans les rues de New-York. Pour se distraire, elle vole ce qui lui tombe sous la main. Et ce qu’elle trouve dans les sacs des passants déclenche aventures et rencontres. La plus belle, ce pourrait bien être Josh...
Révélation « indé » du Festival de Cannes 2008, les « Frères Safdie » semblent réinventer le cinéma new-yorkais en liberté, celui des premiers films de Cassavetes et Jim Jarmusch. Sur un tempo jazzy, l'amour, l'ivresse et la mélancolie font naître une « sad comedy», à la fois tonique et sentimentale.
" C’est toujours la même histoire : bricolé en super-16 en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, The Pleasure of Being Robbed, formidable premier long métrage de Josh Safdie (vingt-cinquième bougie à peine soufflée), semble sortir de la malle d’un prestidigitateur, un vieux sorcier nommé “cinéma underground new-yorkais” dont on croyait connaître tous les tours (rythme jazzy et comptines pop, image granuleuse et caméra tremblée), et qui revient pourtant nous émerveiller à intervalles réguliers."
Jacky Goldberg
Libération
" (...) le film de Joshua Safdie (...) possède (...) l’agréable culot de sa jeunesse. Un parti pris totalement assumé avec, parfois, une non...
" (...) le film de Joshua Safdie (...) possède (...) l’agréable culot de sa jeunesse. Un parti pris totalement assumé avec, parfois, une nonchalance un peu forcée dans des scènes qui peinent à s’achever, mais aussi quelques très jolis moments. Par exemple, la longue balade en voiture où la petite voleuse apprend à conduire dans la sauvagerie des embouteillages new-yorkais ou encore la lente procession d’un vieil homme noir dans les rues, hélant les passants chaque matin pour faire leur bonheur de la journée. «Good morning, beautiful», dit-il aux filles. «Good morning, handsome» aux garçons. Un moment de grâce auquel il ne faut surtout pas chercher d’explications, juste observer sans dire un mot, si la chance nous fait croiser son chemin."
Bruno Icher
Avis
kamwatka
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The Pleasure of Being Robbed
À l'instar de son héroïne, le film désoriente, agace et séduit , il ne poursuit aucun but et jouit de sa liberté. Poésie foutraque.
Pitchfork
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The Pleasure of Being Robbed
Une errance poétique dans les rues de New-York, le premier long-métrage des Frères Safdie affirme une tonalité qui leur est propre dans la constellation...
À l'instar de son héroïne, le film désoriente, agace et séduit , il ne poursuit aucun but et jouit de sa liberté. Poésie foutraque.
Pitchforkau sujet de
The Pleasure of Being Robbed
Une errance poétique dans les rues de New-York, le premier long-métrage des Frères Safdie affirme une tonalité qui leur est propre dans la constellation des films indé-new-yorkais souvent formatés
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À l'instar de son héroïne, le film désoriente, agace et séduit , il ne poursuit aucun but et jouit de sa liberté. Poésie foutraque.
Une errance poétique dans les rues de New-York, le premier long-métrage des Frères Safdie affirme une tonalité qui leur est propre dans la constellation...
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