Bill Douglas : " George Loveless, c'est moi..."
Le cinéma de Bill Douglas s'écrit avec sentiments et humanité. C'est donc en s'identifiant au héraut des martyrs d1
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Jamie vit un moment en orphelinat, comme son frère, puis retourne chez sa grand-mère. Devenu adolescent, il cherche du travail...
Jamie vit un moment en orphelinat, comme son frère, puis retourne chez sa grand-mère. Devenu adolescent, il travaille un temps à la mine puis chez un tailleur. Puis il part pour l’Egypte faire son service militaire. Il y rencontre Georges, un jeune homme qui devient son ami et l’aide à s’ouvrir à la vie.
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" Les films constituent cependant bien plus qu’une référence pour Douglas, ils forment un horizon, le seul désirable dans une réalité grise
" Les films constituent cependant bien plus qu’une référence pour Douglas, ils forment un horizon, le seul désirable dans une réalité grise : My Ain Folk (Ceux de chez moi) s’ouvre ainsi sur l’image en Technicolor de Lassie, avant de retourner, en contre-champ, au noir et blanc du visage strié de larmes et de suie de Tommy, le frère aîné de Jamie, face à l’écran de cinéma. On sait la dévotion que Douglas vouait à l’histoire des images, lui qui collectionnait machines optiques, films et affiches qui ont désormais leur place dans un fonds d’archives à l’Université d’Exeter. Il faut chercher dans ses films les indices épars de cette passion pour l’histoire du cinéma : la photographie de famille qui ouvre My Way Home (Mon retour) ; le lent panoramique descendant qui met en mouvement le cadre sur la morne campagne écossaise tandis que l’ascenseur emmenant les mineurs au fond du puits se met en branle ; les vitres brouillées de l’orphelinat qui forment comme un théâtre d’ombres en arrière-plan alors que Jamie attend passif que d’autres décident de son destin ; et surtout, la course de l’enfant le long de la voie ferrée et des panneaux de bois qui découpent sa silhouette comme les photogrammes d’une bande filmique et l’ivresse de son tournoiement dans le panache de fumée du train à vapeur sur un petit pont de bois surplombant la voie. Alors l’alternance d’opacité et de transparence de ce voile de fumée semble transpercer la surface de l’écran."
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