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Une mère de trois enfants, au rythme de vie frénétique et épuisant, voit son mari s'éloigner de plus en plus et tente de le reconquérir.
Il aura suffit d’une indiscrétion pour jeter Katalin Varga et son fils sur les routes. Reniée par son époux, la jeune femme s’enfuit en charrette par ces chemins de Transylvanie qu'elle n'a plus empruntés depuis onze ans... Un premier film envoûtant, Ours d'argent au festival de Berlin 2009.
Dans un petit village hongrois plongé dans la torpeur de l'été, tout semble tranquille. Chacun vaque à ses occupations : du miel à récolter, du blé à moissonner, des cochons à nourrir... Pourtant, derrière ce calme apparent, se cache une mystérieuse série de meurtres dont sont victimes, un à un, les hommes de la bourgade...
Entre Angela et Viola, la communication est devenue impossible. Mère et fille ne se retrouvent plus le soir que pour regarder leur série préférée. Secrètement, elles sont probablement toutes les deux éprises du personnage principal. Viola est à la recherche du grand amour. Angela voudrait créer de belles robes. Elle désire quelque chose de différent. Une autre vie. De l’air frais.
Szabolcs partage une amitié ambigüe avec Bernard. Après une violente dispute, il décide de rentrer en Hongrie pour faire le point. Isolé dans une maison à la campagne, il rencontre néanmoins un homme avec qui il peut oser et assumer sa sexualité... Sélectionné au Festival de Berlin 2014,de 2014, un premier long-métrage délicat et sensuel sur la quête de soi et le désir homosexuel.
Parce que son père est jugé trop tiède à l'égard du système communiste nouvellement mis en place, un jeune Hongrois est exclu de l'école de cinéma où il avait été admis. Il se reconvertit comme géomètre et est chargé par les autorité d'expliquer aux paysans des plaines la collectivisation des terres à venir. En compétition officielle au Festival de Cannes 1968.
Une famille s'entredéchire dans l’exiguïté d'un appartement. Premier film, réalisé à 22 ans, en quatre jours, par l'auteur des "Harmonies Werckmeister" et "L'homme de Londres". Un aspect documentaire et cru - que le cinéaste abandonnera par la suite - qui puise son inspiration dans la dureté et la colère des auteurs qu'il admire alors : Cassavetes et Fassbinder.
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