Anna, douze ans, souffre d'asthme. Elle est envoyée pour l'été à la campagne. En explorant les environs, elle découvre une maison abandonnée au milieu d'un marais, et dans cette maison, Marnie, une étrange jeune fille...
Un ex-détective devenu professeur en criminologie s’installe avec son épouse dans un nouveau quartier, à la recherche d’une vie tranquille. Alors qu’on lui demande de participer à une enquête à propos de disparitions, sa femme fait la connaissance de leurs étranges voisins.
Une femme aux cheveux rouges est prise en stop par le conducteur d'un camion poubelle. Son mystère et son franc-parler séduisent le jeune homme et le couple ne tarde pas à partager un même toit. Mais le passé de la jeune femme la rattrape et son ancien amant resurgit dans sa vie.
Tokyo en 1923. Saburo Gouha, propriétaire d'une pension bourgeoise, prend plaisir à espionner régulièrement ses locataires. Ceux-ci, ne se sachant pas observés, se livrent à toute sorte de jeux sexuels. Le désir de crime prend alors le dessus sur le désir de voyeurisme de Gouha, qui commence à empoisonner ses résidents...
Quatre fillettes sont témoins du meurtre d'Emili, leur camarade de classe. Sous le choc, aucune n’est capable de se souvenir de l’assassin. La mère d’Emili met les enfants en garde : si elles ne se rappellent pas le visage du tueur, elles devront faire pénitence toute leur vie. Quinze ans après, que sont-elles devenues ? Sae et Maki veulent se souvenir.
Il y a quinze ans, quatre fillettes étaient témoins du meurtre d’Emili, leur camarade de classe. Incapables de se souvenir du visage du tueur, elles étaient menacées de pénitence par Asako, la mère de la disparue. Contrairement à Sae et Maki, Akiko et Yuka veulent oublier. Et la mère d’Emili, que cherche-t-elle encore après tout ce temps ?
Guidé par un vieux vagabond, un homme se rend dans un village, sur la piste d'une jarre contenant une statue en or. Mais il rencontre surtout une femme étrange et kleptomane. Le trésor serait-il caché au creux de leur jouissance ? Cinéaste iconoclaste des années 60, Imamura, après 2 (!) palmes d'or ("La Ballade de Narayama" et "L'Anguille") livre un insolite et joyeux éloge... de la bandaison.
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