Une écrivaine française traverse l’Irak et la Syrie pour venir à la rencontre de Leila Mustapha, la maire de Raqqa, ville en ruine après la guerre. Dans cette ville encore dangereuse, elle a 9 jours pour vivre avec Leila et découvrir son histoire...
Après la prise de leur pays par l’État Islamique en 2014, une poignée de journalistes citoyens anonymes se sont associés pour former le groupe "Raqqa is being Slaughtered Silently" ("Raqqa est assassiné en silence"). Plutôt que de s’exiler et fuir, ils tâchent de documenter la réalité chaotique et risquent leur vie pour résister face à l’un des plus grands fléaux modernes...
De juillet à décembre 2015, avec une équipe de cinéma, Bernard-Henri Lévy a remonté les 1000 kilomètres de la ligne de front qui sépare le Kurdistan irakien des troupes de Daech.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Accompagné d'un commentaire écrit par Joseph Kessel et composé d’archives, souvent inédites, le film retrace l’histoire conflictuelle du « fait israélien » : l’implantation des premiers colons sionistes en Palestine au début du siècle, « le foyer national juif » au lendemain de la guerre 14-18, la création de l’État d’Israël en 1948 et les guerres israélo-arabes de 1948, 1956 et 1967...
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
En affirmant sa double culture juive et arabe, Simone Bitton propose une méditation cinématographique sur le conflit israélo-palestinien. Sur le chantier aberrant du mur, les mots du quotidien et les chants du sacré, en hébreu et en arabe, résistent aux discours de la guerre et se fraient un chemin dans le fracas des foreuses et des bulldozers.
_TITLE