UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.

En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.

Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.

  • Page d'accueil

  • Catalogue

  • Nouveautés

  • KIDS

  • Courts

  • Articles

  • Séries

  • Catalogue
  • Se connecter
Attention! Votre carte bancaire Merci de la mettre à jour.
0
Icon utilisateur dans un cercle CONNEXION

Nouveautés

Films

Top

Courts

Articles

Séries

KIDS

Loading…
Un mur à Jérusalem

Un mur à Jérusalem

De Frédéric Rossif , Albert Knobler (1968)
Je loue
2.99€
Ce film ne peut pas être vu sur mobile et tablette.
Vous pouvez cependant le louer ou l'acheter et le regarder sur un ordinateur.
J'achète
7.99€
Ce film ne peut pas être vu sur mobile et tablette.
Vous pouvez cependant le louer ou l'acheter et le regarder sur un ordinateur.
J'offre
Un mur à Jérusalem
1 Note

Le film retrace l'histoire de la fondation et du développement d'Israël, de l'implantation des premiers colons au début du siècle aux guerres israélo-arabes.

DOCUMENTAIRE CONFLITS DU MOYEN-ORIENT ISRAËL / PALESTINE EXIL

Accompagné d'un commentaire écrit par Joseph Kessel et composé d’archives, souvent inédites, le film retrace l’histoire conflictuelle du « fait israélien » : l’implantation des premiers colons sionistes en Palestine au début du siècle, « le foyer national juif » au lendemain de la guerre 14-18, la création de l’État d’Israël en 1948 et les guerres israélo-arabes de 1948, 1956 et 1967. De l’aspiration à une terre pour les rescapés des pogroms et de l’Holocauste, et de sa conséquence : le drame palestinien...

VF
SD
Origine : France
Durée : 1h28
Année de production : 1968
Date de sortie en salle : 20/11/1968
Réalisation
Frédéric Rossif
Albert Knobler
Casting
Bérangère Dautun
Georges Descrières
Michel Bouquet

Le lecteur n'est pas installé ?

  • Téléchargez et installez notre application

Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux

logo UniversCiné
Veuillez saisir le code parental pour visionner ce contenu :
Le code parental inséré n'est pas bon
On vous recommande
+ BONUS
Le Temps du ghetto

Réalisé par: Frédéric Rossif - 1h19

Avec: Nadine Alari , Jean Perrot ...

L'histoire du ghetto juif de Varsovie, depuis sa création jusqu'à la sanglante répression de 1943, lorsque sa population se souleva contre la barbarie...

Les Patates

Réalisé par: Claude Autant-Lara - 1h40

Avec: Pierre Perret , Henri Virlogeux , Bérangère Dautun ...

Pendant l'Occupation, dans les Ardennes, la culture des pommes de terre devient l'obsession d'un ouvrier angoissé par les difficultés de ravitaillement.

Voyage of Time : au fil de la vie

Réalisé par: Terrence Malick - 1h30

Avec: Cate Blanchett , Maisha Diatta , Jamal Cavil ...

Une célébration de l'univers et un voyage philosophique et méditatif en quête de réponses à une question : quel est le sens de la vie sur Terre ?

+ BONUS
Peshmerga

Réalisé par: Bernard-Henri Lévy - 1h32

De juillet à décembre 2015, avec une caméra, Bernard-Henri Lévy remonte les 1000 kilomètres qui séparent le Kurdistan irakien des troupes de Daech.

Free to Run

Réalisé par: Pierre Morath - 1h30

Avec: Philippe Torreton ...

Retour sur la fabuleuse épopée de la course à pied, sport solitaire devenu passion universelle.

+ BONUS
City of Dreams

Réalisé par: Steve Faigenbaum - 1h27

Nos villes ne sont pas immortelles... Retour à Détroit après 25 ans d’absence. Une enquête qui dévoile les racines de la faillite d’une cité américaine.

+ BONUS
Iranien

Réalisé par: Mehran Tamadon - 1h45

Le réalisateur Mehran Tamadon a convaincu quatre mollahs, partisans de la République Islamique d’Iran, de venir habiter et discuter avec lui pendant deux jours.

La Pluie et le beau temps

Réalisé par: Ariane Doublet - 1h14

Avec la mainmise des marchés internationaux sur l'agriculture, une question se pose : Les cultivateurs de lin normands seront-ils sauvés par les Chinois ?

Indes galantes

Réalisé par: Philippe Béziat - 1h49

À l'Opéra de Paris, 30 danseurs de krump, break, popping et voguing sont réunis pour réinventer Les Indes Galantes de Jean-Philippe Rameau.

Stanley Kubrick : Une vie en images

Réalisé par: Jan Harlan - 2h22

Avec: Stanley Kubrick , Barbara Kroner , Steven Marcus ...

A partir d’images d’archives et d’interviews de ses proches et de ses collaborateurs, le film tente de lever le voile sur le mystère Kubrick…

Vous pourriez aimer aussi
+ BONUS
Fix me

Réalisé par: Raed Andoni - 1h38

Avec: Raed Andoni , Nasri Qumsia , Fathi Flefel ...

À Ramallah, Raed, cinéaste palestinien, a un mal de tête constant. Mais ne serait-ce pas la région dans laquelle il vit qui favoriserait la "prise de tête" ?

Le Dernier continent

Réalisé par: Vincent Lapize - 1h17

Du printemps 2012 au printemps 2014, la vie dans la ZAD des opposants au projet d’aéroport Grand-Ouest à Notre-Dame-des-Landes.

Pourquoi nous détestent-ils ? S2 - Nous les homosexuels

Réalisé par: Olivier Nicklaus , Gurwann Tran Van Gie - 1h09

Avec: Gurwann Tran Van Gie ...

En marge de la "Manif pour tous", Gurwann Tran Van Gie, réalisateur et comédien, explore les racines de l'homophobie...

Être et avoir

Réalisé par: Nicolas Philibert - 1h43

À Saint-Etienne sur Usson, en Auvergne, Georges Lopez est l'instituteur d'une classe unique, qui regroupe les enfants du village de la maternelle au CM2.

Whitney

Réalisé par: Kevin McDonald - 2h00

Avec: Whitney Houston , Kevin Costner , Aretha Franklin ...

A travers des images d'archives rares et des entretiens de ses proches, une plongée sans concession dans la vie et la carrière de Whitney Houston.

Power to Change : la rébellion énergétique

Réalisé par: Carl-A. Fechner - 1h30

Une vision d’avenir : un système de fourniture d’énergie démocratique, durable et d’un coût abordable, à partir de sources 100% renouvelables.

Debout

Réalisé par: Stéphane Haskell - 1h25

Avec: Raphaël Personnaz ...

Un réalisateur, qui a vaincu un handicap physique grâce au yoga, a parcouru le monde pour filmer cette pratique universelle.

Pardevant notaire

Réalisé par: Marc-Antoine Roudil , Sophie Bruneau - 1h12

Par les auteurs d'"Arbres", un autre documentaire étonnant, regard aigu et discret sur le travail quotidien dans quatre études notariales en Auvergne.

L'Époque

Réalisé par: Matthieu Bareyre - 1h34

Réalisé entre les attentats de «Charlie Hebdo» et la présidentielle de 2017, le portrait d'une jeunesse, des cités aux beaux quartiers, qui s'interroge.

Océan

Réalisé par: Océan - 1h51

Autoportrait intime, sur toute une année, d’un homme transgenre que les gens connaissaient jusque-là sous le nom d’Océanerosemarie.

Critiques
Le Nouvel Observateur

"  Commentaire de Joseph. Kessel, de l’Académie française. Avec menace de citations bibliques — de ces citations auxquelles il est si facile

Lire la suite
Le Nouvel Observateur

Le Nouvel Observateur

à propos de

Un mur à Jérusalem

"  Commentaire de Joseph. Kessel, de l’Académie française. Avec menace de citations bibliques — de ces citations auxquelles il est si facile de faire dire n’importe quoi, le blanc comme le noir. Je redoutais un film de propagande. Toute l’astuce de Frédéric Rossif et sa connaissance des cinémathèques mondiales mises au service de la cause, assurément pathétique mais politiquement équivoque, d’Israël. On allait, une fois de plus, à grand renfort de documents irréfutables, entretenir la confusion entre l’abominable martyre des juifs et le nationalisme israélien ; une fois de plus réveiller, dans le cœur du bon peuple français, le raciste qui n’y sommeille que d’un œil, trop heureux, de bouffer du bougnoule en se donnant les gants (quitte à faire taire momentanément son antisémitisme profond) de sauver son juif à moindres frais. Bref, je craignais le pire. C’était compter sans l’astuce, précisément, de Rossif. Bien trop malin pour tomber dans le piège de la propagande évidente. Quelle surprise ! J’ai eu l’impression d’un film objectif.

Deux exemples, entre plusieurs : les Israéliens ont inscrit quelques Oradour arabes à leur passif ; ce sont les Israéliens qui ont déclenché la guerre de Six Jours en riposte au blocus d’Akaba par Nasser. La force de l’histoire finit toujours par s’exercer assez pour qu’il devienne difficile de tricher avec elle. Mais, généralement, il faut attendre plus longtemps que n’ont attendu Rossif et Knobler.

Un mur à Jérusalem se présente comme un documentaire historique. Rossif et Knobler retracent à grands traits le passé des relations entre Juifs et Arabes sur la terre de Palestine, sous la domination turque. Ils montrent comment le rêve d’un « foyer » juif est né chez les victimes d’une persécution incessante comme seule solution possible à la question juive — et comme ce foyer juif ne pouvait, aux yeux des Juifs, être situé géographiquement que sur la terre promise à Moïse.

Grâce à de brèves références aux bouleversements mondiaux, et principalement à la guerre de 14-18, au nazisme et à la guerre de 39-45, on voit comment la création d’un Etat d’Israël s’inscrit dans la politique internationale. La paix dans cette partie du monde, et d’abord entre Juifs et Arabes, a toujours dépendu des intérêts européens, et d’abord de ceux de la Grande-Bretagne.

Contre les Turcs, les Anglais ont mis dans leur jeu tantôt les Juifs en leur promettant un foyer (déclaration Balfour), tantôt les Arabes en leur promettant, par le truchement de Lawrence d’Arabie, un empire.

Les Anglais ont longtemps tenté d’équilibrer cette double promesse jusqu’au jour où, la balance penchant pour les Arabes, les Juifs s’abandonnèrent à un terrorisme antibritannique qui conduisit au départ de la Grande-Bretagne, à l’intervention de l’O.N.U., à la naissance d’un Etat d’Israël que les Arabes ont toujours refusé de reconnaître, à la première guerre de Palestine, à Suez, au remplacement des intérêts européens hors-jeu par la rivalité américano-soviétique en Méditerranée et à la ruine des espoirs de collaboration israélo-arabe. Nous en sommes là. Toutes les guerres sont ignobles : les guerres saintes encore plus que les autres."

Jean-Louis Bory, 18/11/1968
L'Express

" C’était au premier soir de la guerre de Six Jours. Un pilote israélien descend de son Fouga Magister, près de Beersheba. Le regard las et

Lire la suite
L'Express

L'Express

à propos de

Un mur à Jérusalem

" C’était au premier soir de la guerre de Six Jours. Un pilote israélien descend de son Fouga Magister, près de Beersheba. Le regard las et grave de ceux qui ont beaucoup tué. Une vieille amitié et, peut-être, le besoin de parier, le font s’approcher de moi : « Tu sais, dit-il, ce matin, quand on a décollé pour la première mission, je ne savais pas si, au retour, j’aurais encore un pays où me poser... »

C’était vrai, bien sûr, et sans appel. Mais avec, malgré tout, quelque chose d’un peu trop simple, d’un peu trop beau, d’un peu trop exemplaire. Un mur à Jérusalem laisse la même impression. Les documents, comme tous ceux que choisit de monter Frédéric Rossif — en collaboration, cette fois, avec Albert Knobler — sont parfois bouleversants, souvent émouvants, indiscutables toujours. Joseph Kessel signe un commentaire simple d’homme fort.

Quant à l’histoire, comme on dit, c’est celle du Juif errant s’installant sur ses terres, quittant le plus profond de cette Europe à feu et à sang pour apprendre, là-bas, « au pays », les rudes exigences de la vie de soldat-laboureur. Il faut déménager les dunes à dos de chameau, s’initier au maniement des bombes et à la grammaire hébraïque, construire la maison et faire pousser les tomates, refaire à la fois l’histoire et la géographie : ces images-là, qui montrent la métamorphose du Juif en Israélien, sont certainement les plus belles. D’ailleurs, Israël vit encore sur l’idéal héroïque d’alors ; là où l’on planta des arbres, des légendes ont poussé.

C’est en 1948, avec le vote de l’Onu créant l’Etat d’Israël, que bascule l’histoire des Juifs, et, en conséquence, le film. Une épopée horrible et sublime avait mené un peuple du ghetto au kibboutz (...) La dernière image fixe Moshé Dayan, en casque et uniforme, en train d’insérer selon la tradition, entre deux pierres du Mur des Lamentations, un papier plié portant son vœu : « Shalom », la paix.

Donc, « ça finit bien ». Et, à la vérité, peut-être trop bien (...) il faut prendre parti, choisir son camp. Frédéric Rossif l’a fait sans ambiguïté : le drame arabe, parfois sensible, reste en marge. Il ne s’agit évidemment pas de propagande. C’est, comme Mourir à Madrid, un film engagé qui aurait pu s’appeler, et pour les mêmes raisons, «Vivre à Jérusalem ». Mais Rossif, cette fois, est dans le camp des vainqueurs : certains le lui reprocheront (...) Un mur à Jérusalem est un film simple et beau. Avec, toujours, cette agaçante restriction : un peu trop simple, un peu trop beau."

J.-N. G, 18/11/1968
Le Monde

" Ce film a tout pour plaire. Des images éloquentes, choisies avec soin, dans les cinémathèques et chez les collectionneurs privés; un mont

Lire la suite
Le Monde

Le Monde

à propos de

Un mur à Jérusalem

" Ce film a tout pour plaire. Des images éloquentes, choisies avec soin, dans les cinémathèques et chez les collectionneurs privés; un montage astucieux qui en fait un récit captivant; un commentaire, sobre dans sa forme, passionné sur le fond. Bref, un « documentaire » réussi sur un sujet toujours d'actualité le conflit judéo-arabe.

La question est réputée être l'une des plus complexes au monde. Cinquante ans après la « Déclaration Balfour », aux termes de laquelle la Grande-Bretagne faisait don aux juifs d'un « foyer natïonL » en Palestine, la solution est loin d'être trouvée, les Nations unies et de simples militants, les grandes puissances et des hommes politiques, des philosophes et des idéologues, ont cherché, mais en vain, la formule qui concilierait l'inconciliable, qui sauvegarderait, au moins, les Intérêts essentiels de deux peuples qui revendiquent la même patrie.

Frédéric Rossif et Albert Knobler ne se sont pas embarrassés de tels scrupules. Ils n'ont vouïu voir qu'un seul côté de ce mur, invisible mais épais, qui s'élève au cœur d'une ville, pourtant aussi sacrée pour l'un que pour l'autre peuple. Ils ont épousé, avec talent et ardeur, la version sioniste la plus classique de l'histoire de ce conflit. Encore que des sionistes et des Israéliens de plus en plus nombreux n'aient cesse, au fil des années, de remettre en cause certains dogmes qu'ils considèrent comme autant d'obstacles à un règlement (...)

A aucun moment, l'existence d'un nationalisme palestinien authentique n'est évoquée, ou même suggérée. Nulle part il n'est indiqué que la renaissance d'un peuple ait pu, incidemment, réduire un autre à la dispersion. Les réfugiés palestiniens vivent, certes, dans des camps misérables depuis vingt ans, mais ils n'ont qu'à s'en prendre aux Etats arabes qui les ont incités à fuir les champs de bataille avant de refuser de les intégrer.

Le film s'achève sur une image qui paraît résumer toutes les autres: le général Dayan, en battle-dress, le visage radieux, se rend, après avoir gagné la « guerre de six jours », au Mur des lamentations pour y faire un « vœu de paix »."

Eric Rouleau, 26/11/1968
Télérama

Le choix des actualités montées par les auteurs cherche plus à restituer l’ambiance des événements successifs qui ont provoqué la naissance

Lire la suite
Télérama

Télérama

à propos de

Un mur à Jérusalem

Le choix des actualités montées par les auteurs cherche plus à restituer l’ambiance des événements successifs qui ont provoqué la naissance de l’Etat juif qu’à rendre compte des faits avec précision. Les images forment avec le texte et la musique un ensemble difficilement dissociable, enrichi çà et là de citations bibliques. Si l’histoire est envisagée du point de vue israélien, le ton qu’adoptent les auteurs n’est jamais celui du pamphlet ou de la revendication ; la masse des documents, souvent inédits, y gagne en force percutante. Le spectateur s’en trouve cependant plus persuadé qu’enflammé.

J.M., 5/12/1971
Les Lettres françaises

 propos de ce difficile problème historique où le cœur et la raison inclinent souvent en sens inverse, les auteurs font preuve d’une object

Lire la suite
Les Lettres françaises

Les Lettres françaises

à propos de

Un mur à Jérusalem

 propos de ce difficile problème historique où le cœur et la raison inclinent souvent en sens inverse, les auteurs font preuve d’une objectivité méritoire en énonçant des faits dû­ment attestés par des documents fil­més souvent remarquables (je songe à l’installation des premiers pion­niers dans les kibboutz du début du siècle). Il manque peut-être à leur film, cependant, une analyse du sens des événements, à savoir qu’Israël est un Etat capitaliste grassement entretenu alors que le vociférant et mala­droit Nasser tente, tant bien que mal, de construire le socialisme, entreprise dont nous savons aujour­d’hui qu’elle est beaucoup plus diffi­cile que la fertilisation des déserts. Mais ceci est une autre histoire, et qui n’est pas de mon ressort.

Je con­clurai donc qu’ « Un mur à Jéru­salem », s’il prend parti, le fait avec une mesure et une honnêteté évi­dentes et qu’à ce titre il doit être vu comme un important élément d’information sur un problème qui passionne, à juste titre, l’opinion.

Marcel Martin, 27/11/1968
Avis
2 sept. 2025
au sujet de Un mur à Jérusalem
Pour donner votre avis sur le film, connectez-vous.
Votre commentaire a été enregistré.
Vous avez déjà écrit un commentaire sur ce film.
Veuillez noter le film avant de soumettre votre commentaire.

Nos offres d'abonnement

MENSUEL
ANNUEL

BASIQUE ETUDIANTS

1 €
le 1er mois(1)

SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois

Je m'abonne

Sur présentation d'un justificatif(2)

  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • Catalogue "A la carte" (dont les nouveautés) non inclus
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 1 écran 
  • Streaming et mode déconnecté

BASIQUE

1 €
le 1er mois(1)

SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois

Je m'abonne
  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • Catalogue "A la carte" (dont les nouveautés) non compris avec cet abonnement
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 3 écrans en simultané
  • Streaming et mode déconnecté

 

PREMIUM

9 ,99€
/mois

SANS ENGAGEMENT

Je m'abonne
  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • 1 film par mois "A la carte" à choisir  
    dans notre catalogue de plus de 12 000 films* (nouveautés incluses)
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 3 écrans en simultané
  • Streaming et mode déconnecté

* A l'exception des films signalés

 

CINÉPHILE

15 ,99€
/mois

SANS ENGAGEMENT

Je m'abonne
  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • 3 films par mois "A la carte" à choisir  
    dans notre catalogue de plus de 12 000 films* (nouveautés incluses)
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 3 écrans en simultané
  • Streaming et mode déconnecté

*A l'exception des films signalés

BASIQUE ETUDIANTS

49 ,99€
/an

 

Je m'abonne

Sur présentation d'un justificatif(2)

  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • Catalogue "A la carte" (dont les nouveautés) non inclus
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 1 écran
  • Streaming et mode déconnecté

BASIQUE

69 ,99€
pour 1 an
Je m'abonne J'offre
  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • Catalogue "A la carte" (dont les nouveautés) non compris avec cet abonnement
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 3 écrans en simultané
  • Streaming et mode déconnecté

PREMIUM

99 ,99€
pour 1 an
Je m'abonne J'offre
  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • 12 films par an "A la carte" à choisir  
    dans notre catalogue de plus de 12 000 films* (nouveautés incluses)
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 3 écrans en simultané
  • Streaming et mode déconnecté​

*A l'exception des films signalés

CINÉPHILE

175 ,99€
pour 1 an
Je m'abonne J'offre
  • Accès à tout le catalogue "Abonnement" : 
    + de 1 000 films sélectionnés avec soin
  • 36 films par an "A la carte" à choisir  
    dans notre catalogue de plus de 12 000 films* (nouveautés incluses)
  • Nouveaux titres et cycles chaque semaine
  • 3 écrans en simultané
  • Streaming et mode déconnecté​

* A l'exception des films signalés

  • (1) Offre réservée aux nouveaux abonnés
  • (2)

    Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
    UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce jointe envoyée n'est pas conforme.
    Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement

UniversCiné
Media Logo | Partenaire
©UniversCiné 2025 - Tous droits réservés
  • Qui sommes-nous ?
  • FAQ
  • Mode d'emploi
  • CGV/CGU
  • Contacts
  • Partenaires
  • Actionnaires
  • Aide
  • Gestion des cookies
Restez connectés
  • Facebook
  • Twitter
Ne manquez pas les nouveautés, inscrivez-vous à la newsletter
Media Logo | Partenaire
ÉDITEUR DU SITE : LE MEILLEUR DU CINÉMA SAS au capital de 2.233.500€ RCS PARIS 437 557 549 Siège social : 47 rue de Paradis 75010 Paris Téléphone : 01 75 43 28 90 Courriel : support@universciné.com DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Denis CAROT HÉBERGEUR DU SITE : OVHcloud Adresse : 2 Rue Kellermann Code postal : 59100 ROUBAIX Téléphone : 09 72 10 10 07

_TITLE

_CONTENT
Vous avez un bloqueur de publicités activé.
Certaines fonctionnalités du site peuvent être perturbées, veuillez le désactiver pour une meilleure expérience.