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En 1975, durant la révolution des khmers rouges, une famille cambodgienne est internée dans un camp de travail. Lors d'une marche, le fils, âgé de quatre ans, est séparé des siens. Ses parents se jurent de le retrouver.
Staline se repose aux côtés de Lidia, sa maîtresse, dans un château au milieu de la forêt. Dans son bureau, il y a un divan qui ressemble à celui de Freud à Londres. La nuit, il propose à Lidia de jouer les psychanalystes. Le jour, il reçoit un jeune peintre venu présenter au dictateur l’œuvre qu’il a conçue à sa gloire. Un rapport trouble s'instaure entre les trois protagonistes.
En Roumanie, Frant Tandara, ex-tortionnaire des prisons communistes, est disposé à avouer ses crimes à une journaliste et à un ancien détenu politique. Il se raconte à eux : enfant de troupe, puis à la fin de la guerre vagabond, sans abri passant ses nuits dans les gares...
Dans une société dévastée par une guerre engagée par un gouvernement totalitaire, Theo sort tous les soirs clandestinement afin de dessiner sur les murs son idée de la liberté. Un soir, il rencontre Elia, une jeune fille qui dessine aussi.
Une méditation sur l’absence, sur la solitude intérieure, géographique, politique. Une tentative d’élucidation du jeune garçon qui connu le Kampuchea démocratique, instauré par les Khmers rouges, et de l’adulte qui n’accepte pas l’injustice : quelle révolution voulons-nous ? Une révolution pour l’homme et avec lui ? Une révolution à hauteur d’hommes, dans le respect, la compréhension ?
Juin 2013. Un mouvement protestataire occupe le parc Gezi à Istanbul. La tension monte entre les manifestants et la police qui se montre de plus en plus violente. Pendant ce temps, la télévision turque diffuse des documentaires sur les pingouins. "Marche arrière" est un film autocensuré dénonçant cette censure. Grand prix au Très Court International Film Festival (2015).
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