Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent
Simon, un père divorcé, récupère sa fille, Léa, pour le week-end. C'est comme ça une semaine sur deux. Très vite, Léa a la sensation que quelque chose ne va pas. C'est le début d'un week-end qui va bouleverser leur existence.
Ce montage de blogs vidéo recueillis de 2009 à 2011 tisse un récit collectif diffracté et contradictoire. Bientôt les « FAITS » – mot martelé par chacun dans un équivalent contemporain du chœur antique – s’effacent sous le gribouillis de la rumeur, de l’opinion, de la mise en scène de soi par les locuteurs devant leur webcam.
En 2011, la cinéaste découvre le travail du réalisateur espagnol José-Luis Guerin. «J’ai alors pensé à lui adresser une lettre, sous la forme d’une auto-fiction, pour tenter de saisir ce qui m’avait émue dans ses films. (…) J’ai entrepris de donner vie à ce que j’appellerais des rumeurs, sans m’obliger à toujours dire la vérité.» dit-elle. (Sélection Cannes 2013-Quinzaine des réalisateurs)
Quatre jeunes de vingt ans, Louise, Sara, Luc et Nicolas, traversent les derniers instants de leur adolescence. Réunis sous un ciel étoilé, le groupe vit cette dernière nuit comme le passage vers un nouveau cycle.
Alice a vingt-trois ans et semble en parfaite santé. Pourtant, le moindre mouvement la déchire de douleur, même les mamies de quatre-vingt-dix-sept ans sont en meilleure forme qu’elle ! Mais cette fichue douleur est invisible et personne ne la prend au sérieux. Alice est seule, trop seule. Jusqu’à ce qu’elle rencontre Gina.
Suivant un rituel bouddhiste séculaire, un moine marche à pas extrêmement lents dans les rues animées de Marseille... Par l'auteur de "The Hole" et "La Rivière", inspirée par un récit de Ch'eng-En Wu, un essai expérimental, méditation cinématographique en forme d'apprentissage à la beauté du monde, transformée, et bousculée par la rencontre avec "l'autre".
Constance, une trentenaire à qui tout réussit, part fêter son enterrement de vie de jeune fille avec ses meilleures amies. Le rêve tourne court quand elle reçoit un message de son fiancé, qui ne veut plus se marier...
Un potager au Guatemala, dans une communauté d’indigènes déplacés depuis la guerre civile des années 80. Pour Juana Lopez, creuser son sillon, c’est raviver la mémoire des combats... Vingt minutes pour parler d'une communauté guatémaltèque et partir de la résistance pour aller vers l'espoir : Prix du court métrage au Festival Cinéma du Réel 2011.
_TITLE