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Toujours fringant à plus de cent ans, Manoel de Oliveira, le temps d'un court-métrage rêveur, réunit sur un banc du XXIe siècle, Don Quichotte, le poète Luis Vaz de Camões, les écrivains Teixeira de Pascoaes et Camilo Castelo Branco. Ensemble, emportés par les mouvements telluriques de la pensée, ils dérivent entre passé et présent, vanité et folie, à la recherche de l'inaccessible étoile.
André, un peintre en pleine crise artistique, en vient à la conclusion suivante : s’il manque tant de créativité, c’est parce qu’il n’a pas encore trouvé sa muse. Il tombe un jour sur l’annonce d’une agence matrimoniale : sa dernière chance ?
Un accueil de nuit. Des voix alcoolisées. Nous suivons un homme, à son invitation, dans les ruelles d'une vieille ville. Il parle de la rue, de l'alcool, des difficultés à tenir ses choix dans un contexte hostile, du film en train de se faire, de ses rêves. La parole est rythmée par la marche. Ce film a obtenu une mention du jury des bibliothèques au Festival Cinéma du Réel 2015.
Il fait chaud. Les rues sont étrangement désertes. Les palmiers agonisent et les fusils à pompe pleurent. Joshua veut mourir mais ne veut pas laisser son frère Maël seul. C'est alors qu'il rencontre le gang des icebergs.
Anna et Maxime sont installés dans un compartiment de train, face à face. Le paysage défile devant leurs yeux. Sans un mot, à peine un regard, leurs gestes trahissent une tendresse incertaine. Ils ont choisi de faire une balade à la montagne qui éveille en eux le souvenir des étés précédents, les étés où ils s‘épanouissaient dans un amour complice.
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