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Le portrait d’une humanité réduite à son essence ... Entre les murs de Forbin, centre d'hébergement et de réinsertion sociale à Marseille, il y a trois cents hommes, il y a l’urgence. Ils ont des noms mais ils ont perdu leur histoire en route. Ils rient et se confrontent, ils refont le monde, celui qu’ils ont perdu. Ils ont un lit. Là ils attendront le jour.
Catastrophes nucléaires, guerres autour du pétrole et du gaz, changements climatiques et consommation d'énergie toujours grandissante : Nous avons franchi un important palier. Continuer sur cette voie n'est pas une option. Mais peut-on satisfaire nos besoins en énergie sans détruire notre existence ?
Tout au long de l’année scolaire 1992-1993, Mariana Otero a filmé les élèves d’un collège implanté au cœur d’une cité en banlieue parisienne. Dans les salles de cours ou le bureau du Principal, quand tout va bien ou quand tout va mal, la réalisatrice a capté les moments ordinaires, exceptionnels ou dramatiques de la vie d’un collège.
Durant tout le mois d'octobre 1980, le réalisateur a suivi le quotidien des photographes de presse et des paparazzi de l'Agence Gamma. À l'époque, l'actualité fut dense, entre campagne présidentielle et actualité culturelle. Planques, connivences, scoops... Depardon capte le jeu de chat et de la souris qui lie les dingues de l'objectif et leurs proies nommées Deneuve, Chirac, Richard Gere...
A travers la fusion de trois groupes sidérurgiques européens, une autopsie du grand jeu de Monopoly auquel se livrent les dirigeants d'entreprise à travers le monde. Le théâtre de leurs réunions, leur ivresse verbale et les sous-entendus codés et contrôlés. le règne des portes fermées dans l'univers opaque d'un monde qui veut maîtriser l'image et ne rien montrer de ses tensions.
Dans la région reculée du Nord Este au Brésil, le village de Toritama survit grâce à l'industrie du textile. Le Carnaval constitue le seul moment de loisir de l’année pour les travailleurs exploités dans les usines délabrées.
"En 2011, j'ai tourné un film en Grèce. Après les émeutes de 2012, je suis revenue pour donner la parole à mon équipe. Ce que les grecs subissent ne les empêchent pas d'avoir un point de vue : c'est ce qu'ils appellent "faire de la philosophie ". Désespoir, courage et humour mêlés, c’est à la fois drôle et dramatique, ça donne "Stop à la Grèce en slip."
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