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Un jour, un cinéaste fait un rêve. Il rêve qu'il fait un film qui contiendrait tous les films qu'il a rêvé de faire. Tous les films inachevés, tous les essais tentés et abandonnés ou refusés, tous les projets impossibles se retrouveraient en un film construit à la manière d'un rêve, immense fresque de l'inabouti. A l'arrivée, une oeuvre-somme qui ressemble à une Odyssée intime.
Le journal intime filmé du réalisateur Alain Cavalier. Les premiers plans du film ont été tournés en 1994. Les dernières images datent de 2005. Plus de dix ans de vie en cent minutes de projection...
A 30 ans passé, la vie de Chris n’est qu’une longue suite d’échecs sentimentaux. Plutôt que d’aller voir un psy, il rend visite, caméra au poing, à toutes ses anciennes petites amies pour leur demander ce qui n'a pas fonctionné dans leur relation.
Pour son anniversaire, Iva, seize ans tout juste, reçoit de la part de son beau-père un petite caméra vidéo. Immédiatement, elle braque son objectif vers les membres de sa famille en pleine implosion et tourne un film sur la soirée désastreuse qui se déroule sous ses yeux.
Alec Fenton, Américain d'adoption, et sa femme Marjorie, d'origine grecque, vivent a Athènes avec leurs deux enfants. Influencé par une obsession pour les signes, Alec entretient une liaison fluctuante avec Katherine, l'une de ses collègues. Il finit par quitter Marjorie et les enfants et s'installe aux États-Unis, mais les mêmes démons le poussent à retourner en Grèce.
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