Entretien
Les punks à chien, Diogènes modernes
Benoît Delépine et Gustave Kervern étaient partis avec l'idée de faire un film sur un journaliste de province enquêtant sur le 11 septembre. A l'arrivée, les voilà avec des punks à chien vivant dans une zone commerciale comme Diogène dans son tonneau. Captant témoins anonymes, passants et ambiances, ils inventent leur film au fur et à mesure du tournage dans l'attente du "moment de grâce". Ou comment l'improvisation devient une méthode.