Hitchcock, les jeunes années d'un maître
Encore British et fier de l'être, le jeune Hitchcock des années 30 signe une série de suspenses où s'affirment ses1
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A Londres, un politicien néerlandais détenant une information capitale est kidnappé par des nazis. Jones, journaliste américain, se lance à sa recherche...
Johnny Jones, journaliste américain au New York Globe, est envoyé en Europe en 1939 pour évaluer l'éventualité d'une Seconde Guerre mondiale. A Londres, il fait la rencontre de Van Meer, un vieil homme politique hollandais, bientôt enlevé par des espions nazis. Jones se lance à sa recherche, aidé par Carol, une jeune fille dont le père préside une société pacifiste...
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" ... deux scènes tout simplement époustouflantes qui rappellent combien l’auteur du troublant Une femme dispara&i
Un mois après la fin du tournage, Alfred Hitchcock décide de rajouter une dernière scène au film, celle où le journaliste venu témoigner à la radio de Londres en appelle à la solidarité des Américains pour intervenir dans le conflit tandis que les bombardements se font entendre tout près de l’immeuble. Tournée le 5 juillet 1940, cette scène précède seulement de cinq jours la réalité (Londres essuiera des bombardements le 10 juillet) et s’achève sur un fondu au noir qui montre combien Hitchcock s’en remettait ici au bon vouloir des Nations pour déterminer la suite de la petite histoire prise dans la grande."
" Hitchcock, toujours malicieux, s'amuse à éviter toute gravité et décline tout au long du film une s&
" Hitchcock, toujours malicieux, s'amuse à éviter toute gravité et décline tout au long du film une série de personnages hauts en couleurs et des situations truculentes, comme cette scène où Jones doit fuir par les toits en robe de chambre et se retrouve dans une soirée mondaine, ou encore les dialogues à double sens que ne manquent pas d'échanger Jones et Carol.
Le film est plein de superbes trouvailles de mise en scène, et Hitchcock profite de la technicité des studios américains pour parfaire son style. Le film rencontre un grand succès et est sélectionné pour concourir aux Oscars. Mais Hitchcock est battu pour le titre du meilleur film... mais par lui même, Rebecca remportant l'Oscar ! Correspondant 17 fait partie de ces œuvres du maître si délicieusement menées que l'on peut les voir et les revoir sans que jamais le moindre soupçon de lassitude ne pointe le bout de son nez. Un régal !"
" Si Correspondant 17 est le deuxième film américain d’Alfred Hitchcock, c’est en réalité sa p
" Si Correspondant 17 est le deuxième film américain d’Alfred Hitchcock, c’est en réalité sa première production entièrement hollywoodienne dans l’esprit et dans les moyens.
Après Rebecca, le réalisateur eut en effet un budget conséquent à sa disposition qui permit la construction de décors importants : que ce soit les scènes situées à Londres, Amsterdam ou en pleine mer, tout est fait en studio. En revanche, Hitchcock n’a pu avoir les acteurs qu’il désirait : le film policier était à l’époque un genre mineur à Hollywood, juste bon pour les films de série B, et donc Gary Cooper refusa le rôle principal (...)
...le thème de l’innocent qui se trouve mêlé à des aventures qui le dépassent : un thème cher à Hitchcock et que l’on retrouve dans plusieurs de ses films (...)
... des scènes absolument remarquables : la scène des parapluies (un assassin qui s’enfuit au milieu d’une foule filmée de haut sous la pluie), les scènes à l’extérieur et à l’intérieur du moulin à vent, le crash de l’avion en pleine mer sont des scènes inoubliables.
La photographie est superbe, les éclairages sont très travaillés, l’intérieur du moulin par exemple montre une véritable perfection dans l’utilisation de la lumière. Le déroulement du scénario est ponctué de moments assez trépidants espacés par des scènes un peu plus traînantes, surtout celles avec Laraine Day où l’absence d’acteurs de premier plan se fait quelque peu sentir.
Malgré l’intensité des enjeux, l’humour n’est pas absent, loin de là, notamment avec le personnage du journaliste anglais, dans lequel George Sanders excelle. Au délà de l’histoire d’espionnage, Correspondant 17 comporte un message fort, militant pour une implication des Etats-Unis dans la guerre qui venait d’éclater. La scène finale en est la preuve."
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