Mai 68. Isabelle et son frère, restés seuls à Paris sans leurs parents, invitent chez eux un bel étudiant américain. Pour eux, la révolution est aussi sexuelle.
Mai 68. Isabelle et son frère Théo, restés seuls à Paris pendant les vacances de leurs parents, invitent chez eux un bel étudiant américain. Pour eux trois, dans cet appartement où ils sont livrés à eux-mêmes, sans limites, la révolution est aussi sexuelle... Par l'auteur du "Dernier Tango à Paris" et "Le Conformiste", un manifeste sur l'adolescence, le sexe et la politique — tous réunis dans l'amour du cinéma.
Innocents est ainsi un film très étrange, qui vous empoigne au moment même où on croit qu'il est raté, qui décolle quand on est prêt à le lâcher. C'est une sorte de poème à la Apollinaire. On en voit d'abord la coquetterie, qui indiffère, puis qui garde un mystère hautain quand soudain une beauté surgit de ce mélange inédit.
Philippe Piazzo
Le Monde
Ce qui fait échapper le film à la reconstitution simplette et la vénération simpliste est sa volonté de tenir la toile de fond soixante-huit...
Ce qui fait échapper le film à la reconstitution simplette et la vénération simpliste est sa volonté de tenir la toile de fond soixante-huitarde à distance pour égrener ses éternelles obsessions.
Jean-Luc Douin
Télérama
Innocents possède (...) le charme voluptueux et tire-au-flanc de ces récits qui relèguent au second plan la foule en colère et l'Histoire po...
Innocents possède (...) le charme voluptueux et tire-au-flanc de ces récits qui relèguent au second plan la foule en colère et l'Histoire pour s'alanguir au calme, derrière une façade pierre de taille.
Louis Guichard
Avis
Y-Paris
au sujet de
Innocents - The Dreamers
Superbe et magique hommage au cinéma et aux cinéphiles, comme si Bertolucci avait pressenti qu'en 1968, le cinéma d'antan et tout particulièrement Italien...
Superbe et magique hommage au cinéma et aux cinéphiles, comme si Bertolucci avait pressenti qu'en 1968, le cinéma d'antan et tout particulièrement Italien allait aussi disparaitre... Eblouissante mise en scène, avec des plans séquence à la steadycam qui sont des trésors, mais sans que jamais la mise en scène ou les complexités décoratives, labyrinthiques et quasi Borgésiennes de cet étrange et bourgeois appartement parisien n'occultent le propos... Superbe performance d'Eva Green, qui est aussi crédible, et atrocement séduisante habillée que complètement nue, et c'est peu dire...
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Superbe et magique hommage au cinéma et aux cinéphiles, comme si Bertolucci avait pressenti qu'en 1968, le cinéma d'antan et tout particulièrement Italien...
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