Schlomi Elkabetz : "Il faut changer les lois en Israel"
A la Quinzaine des réalisateurs, un grand film, passionnant et maîtrisé : Gett-Le Procès de Viviane Amsalem. Auteu1
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Dans la campagne israélienne, Tamar, mère célibataire, présente tous les symptômes de la nymphomanie. Un jour, elle tombe amoureuse d'un homme qui l'aime aussi.
Tamar, belle jeune femme de 35 ans, vit seule avec ses deux fillettes. Elle ne peut refréner son appétit sexuel et se donne à plusieurs hommes du village. Lorsque Shai, un jeune vétérinaire revient s’installer dans la région pour gérer la succession de sa mère, il tombe sous son charme et une relation amoureuse naît rapidement entre eux. Mais Tamar pourra-t-elle se contenter d’un seul partenaire ?
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" Il faut savoir gré à Hagar Ben Asher de n'avoir pas cherché à trouver on ne sait quelles causes psychologiques, enfouies dans un passé don
" Il faut savoir gré à Hagar Ben Asher de n'avoir pas cherché à trouver on ne sait quelles causes psychologiques, enfouies dans un passé dont on se fiche qu'il soit dévoilé, du comportement compulsif de son personnage.
Car la nymphomanie, beau et complexe sujet peu traité au cinéma (...), n'est pas présentée comme un problème dans La Femme qui aimait les hommes. Le regard qu'y porte la cinéaste est d'une neutralité fascinante et finalement très juste car il s'agit, dès lors, d'une manière d'agir et d'être (mais au cinéma, c'est la même chose) qui bouleverse les conventions d'un récit trop programmé.
Dans la mesure, en effet, où elle met en péril le scénario rassurant de la rencontre amoureuse et ici, par surcroît, de la reconstitution familiale, elle devient une force subversive qui détraque non seulement le déroulement espéré des évènements mais contraint chacun à s'interroger sur ses propres mécanismes de spectateur.
Tout en évitant l'exaltation libertaire ou hédoniste satisfaite d'elle-même, le film repose sur un questionnement infini qu'un dénouement suspendu laisse, avec intelligence, ouvert."
"La mise en scène de Hagar Ben Asher (fille superbe qui tient aussi le rôle principal) est rigoureuse, minimal, laconique : primauté des pla
"La mise en scène de Hagar Ben Asher (fille superbe qui tient aussi le rôle principal) est rigoureuse, minimal, laconique : primauté des plans fixes, des cadres composés, du montage long, famille Bartas-Costa. Pour autant, le film ne se fige pas dans le formalisme : les personnages sont bien vivants, les plans respirent, le vent souffle dans les arbres. (...) Hagar Ben Asher est incontestablement une cinéaste.
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