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Alain est le pilier d'une communauté dédiée aux rassemblements western. Un jour, sa fille disparait. Il embarque alors son fils Kid pour la retrouver.
Une grande prairie, un rassemblement country western quelque part dans l’est de la France. Alain est l’un des piliers de cette communauté. Il danse avec Kelly, sa fille de 16 ans sous l’œil attendri de sa femme et de leur jeune fils Kid. Mais ce jour là Kelly disparaît. La vie de la famille s’effondre. Alain n’aura alors de cesse que de chercher sa fille, au prix de l’amour des siens et de tout ce qu’il possédait. Le voilà projeté dans le fracas du monde. Un monde en plein bouleversement où son seul soutien sera désormais Kid, son fils, qui lui a sacrifié sa jeunesse, et qu’il traîne avec lui dans cette quête sans fin.
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" Les Cowboys va prendre des dimensions immenses, rares. Le film commence en 1994 et s’achève vers 2005 : un long voyage
" Les Cowboys va prendre des dimensions immenses, rares. Le film commence en 1994 et s’achève vers 2005 : un long voyage de onze ans où l’on va suivre la quête d’Alain pour retrouver sa fille et qui nous entraîne avec une ambition littéraire (le métrage est chapitré par les noms des personnages) dans un labyrinthe de fausses pistes. (...) Les Cowboys est mélancolique, mutique, flippant, un peu comme une variation française et étouffée de Zero Dark Thirty - autre quête terrifiante et impossible de dix ans - évidemment sans les Navy SEAL.
C’est d’autant plus brillant qu’on ne sait pas où l’on nous entraîne, à l’image des héros de l’histoire : Les Cowboys nous embarque dans des territoires angoissants et inquiets (au son de la BO remarquable de Raphaël, comme quoi tout arrive) et malgré ses jolis plans d’autoroutes belges nocturnes et de corps menaçants, il ne sacrifie jamais au look post-Carpenter (plutôt post-Refn, en fait) synthétique qui empoisonne tant de films de genre français, ni à la surécriture bordélique qui peut menacer un premier film de scénariste. (...) En cela, même s'il a évidemment été conçu avant, Les Cowboys pourrait être un marqueur, devenir, malgré lui, le premier polar post-Charlie, un film de genre qui se saisit du réel et qui tente intelligemment de prendre en compte les bouleversements esthétiques et mentaux induits par une société qui a accouché de la tuerie du 7 janvier.
(...) Traversé de visions noires et impressionnantes, Les Cowboys est un film de cinéphiles qui dessine implicitement une frontière invisible mais certaine entre les initiés et les non-initiés. C’est néanmoins une vraie réussite ! "
" Avec Audiard, Bidegain a été à bonne école et sait maîtriser son récit, taillant ici ou l&ag
" Avec Audiard, Bidegain a été à bonne école et sait maîtriser son récit, taillant ici ou là dans le gras pour que son intrigue touche au plus vite à la vérité des sentiments. "
Eric Libiot" Transposer La Prisonnière du désert, classique parmi les classiques du western, dans un contexte français et co
" Transposer La Prisonnière du désert, classique parmi les classiques du western, dans un contexte français et contemporain : pour sa première réalisation, le scénariste Thomas Bidegain (Un prophète, Dheepan...) a mis la barre très haut. Un pari risqué mais gagné avec panache...
(...) Stetson vissé sur le crâne, Alain considère les musulmans comme le personnage de John Wayne voyait les Comanches, jadis : avec mépris, puis haine. C'est l'idée forte du film : les Arabes sont les Indiens d'aujourd'hui, injustement stigmatisés en bloc pour les atrocités commises par une minorité d'entre eux. Les clins d'oeil au western sont, parfois, potaches (le joint comme version postmoderne du calumet de la paix !), parfois puissants : quand les deux « cow-boys » pénètrent dans une cité de banlieue sous le regard méfiant de « barbus » qui les suivent sur les toits, on se croirait en plein Far West.
(...) Ecrit avec une utilisation audacieuse des ellipses et des temps morts, Les Cowboys n'est pas seulement un « film de scénariste » : l'angoisse et l'émotion naissent, aussi, de la mise en scène et de la direction d'acteurs. François Damiens est un impressionnant bloc de douleur. Et Finnegan Oldfield crève l'écran en fils aimant qui sacrifie sa jeunesse avant de devenir le trait d'union entre deux cultures..."
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