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À Abidjan, de jeunes prostituées intègrent un refuge pour femmes, première étape d'un long chemin de réhabilitation.
À Abidjan, les "Go", comme on les appelle, empruntent un chemin chaotique entre délinquance et sexe tarifé pour gagner un peu d’autonomie. Très jeunes, majoritairement musulmanes, elles fuient les violences familiales, quitte à vivre clandestinement et dans le déshonneur, comme de véritables parias. Bijou, Blancho, Chata, Mahi et quelques autres décident de changer leur destin et entrent à la "Casa", un refuge pour femmes créé par la réalisatrice du film, dans l'espoir de reprendre pied. La cohabitation n'est pas aisée et de nouvelles difficultés surgissent.
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"Au-delà de ces portraits sensibles de femmes courageuses, qui ont décidé de prendre leur destin en mains envers et contre tout, Little Go G
"Au-delà de ces portraits sensibles de femmes courageuses, qui ont décidé de prendre leur destin en mains envers et contre tout, Little Go Girls décrit aussi une société de l’exclusion, un monde encore gonflé par les conventions sociales et les traditions. Les seuls moyens de s’en sortir sont de faire preuve de solidarité, d’entre-aides, mais aussi et surtout, de savoir s’estimer malgré le regard des autres. Lorsqu’elles se préparent pour rendre visite à des proches ou assister à quelque événement important, Éliane de Latour filme leurs gestes comme des rituels, montre le soin qu’elles y apportent, l’importance que peut revêtir cette façon de se parer."
Thomas Roland"Little Go Girls montre d’abord l’extrême précarité de la vie quotidienne des « go », qui dorment sur les trottoirs, les plages, ou – au gré
"Elles s’appellent Bijou, Blancho, Chata ou Mahi… Elles ont entre 13 et 25 ans, en rupture de famille, en rupture de ban, et survivent dans
"Elles s’appellent Bijou, Blancho, Chata ou Mahi… Elles ont entre 13 et 25 ans, en rupture de famille, en rupture de ban, et survivent dans les ghettos d'Abidjan en vendant leur corps pour 1 euro 50. Ces jeunes filles, l’anthropologue, photographe et réalisatrice Éliane de Latour les appelle les « Go de nuit », « Go » comme le terme nouchi, l’argot ivoirien, qui désigne les filles.
Après leur avoir consacré un livre et deux expositions de photos, en 2011 et 2014, la cinéaste est retournée les voir et a réussi à établir un lien privilégié. « Ils ont un fort désir de reprendre leur vie en main », affirme la réalisatrice."
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