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En 1810, Saartjie, quitte l'Afrique du Sud avec son maître, Caezar, et livre son corps en pâture au public londonien des foires aux monstres.
Paris, 1817, enceinte de l'Académie Royale de Médecine. « Je n'ai jamais vu de tête humaine plus semblable à celle des singes ». Face au moulage du corps de Saartjie Baartman, l'anatomiste Georges Cuvier est catégorique. Un parterre de distingués collègues applaudit la démonstration. Sept ans plus tôt, Saartjie, quittait l'Afrique du Sud avec son maître, Caezar, et livrait son corps en pâture au public londonien des foires aux monstres. Femme libre et entravée, elle était l'icône des bas-fonds, la « Vénus Hottentote » promise au mirage d'une ascension dorée...
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Une vision étouffante (voir les cadrages serrés et l'observation clinique des personnages) d'un destin tragique, celui d'une Africaine utilisée pour un...
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