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Staline se repose aux côtés de Lidia, sa maîtresse, dans un château au milieu de la forêt. Dans son bureau, il y a un divan qui ressemble à celui de Freud à Londres. La nuit, il propose à Lidia de jouer les psychanalystes. Le jour, il reçoit un jeune peintre venu présenter au dictateur l’œuvre qu’il a conçue à sa gloire. Un rapport trouble s'instaure entre les trois protagonistes.
Witold et Fuchs quittent Paris pour passer quelques jours dans une pension de famille où les accueillent des présages inquiétants... Un moineau pendu dans la forêt, puis un bout de bois dans le même état et enfin des signes au plafond et dans le jardin...
Où Schéhérazade doute de pouvoir encore raconter des histoires qui plaisent au Roi. Son père, le Grand Vizir, lui donne rendez-vous dans la Grande Roue. Et Schéhérazade reprend : « Ô Roi bienheureux, quarante après la Révolution des Oeillets, dans les anciens bidonvilles de Lisbonne, il y avait une communauté d’hommes ensorcelés qui se dédiaient à apprendre à chanter à leurs oiseaux... ».
On raconte qu'une juge affligée pleurera au lieu de dire sa sentence quand viendra la nuit des trois clairs de lunes. Un assassin en fuite errera plus de quarante jours durant dans les terres intérieures et se télétransportera pour échapper aux gendarmes. Les habitants d’un immeuble de banlieue sauveront des perroquets et pisseront dans les ascenseurs, entourés de morts et de fantômes.
Peines d’amour perdues dans la noblesse portugaise du XIXè siècle. Le destin d'un orphelin croise de fantasques personnages : un prêtre libertin devenu justicier... Une comtesse vengeresse... Un pirate converti en homme d’affaires...
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