1876. Le capitaine Nathan Algren est ressorti traumatisé de la guerre de Sécession. Envoyé en mission au Japon par son pire ennemi, il est chargé de mater la rébellion du samouraï Katsumoto et de ses hommes, qui refusent l'ordre "moderne" que veut instaurer le jeune empereur. Mais bien vite, le capitaine se retrouve pris entre deux feux, au cœur d'une confrontation entre deux époques et deux mondes avec, pour le guider, son sens de l'honneur.
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes et les questionne. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes # En parallèle de ce documentaire (ici, la version sortie en salles, 2h), vous retrouverez en vod sur Universciné la version intégrale en 3 épisodes (1h20, 1h10, 1h14)
Ce documentaire suit le quotidien de Jon, éleveur de rennes au dessus du cercle polaire. Corto Fajal suit un nomadisme étonnant où la vie traditionnelle et moderne se côtoient en permanence. Au-delà du portrait d'une vie en pleine nature, le film dépeint cette quête d'équilibre entre progrès technologiques et savoirs millénaires, et dont le sens et l’humilité nous interpellent aussi.
Ils sont collégiens, âgés de 11 à 15 ans, réunis dans une même classe d’accueil pour apprendre le français. Dans ce petit théâtre s’expriment l’innocence, l’énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettent en cause beaucoup d’idées reçues sur la jeunesse et l’intégration.
C'est l'été en Mongolie. Une famille de nomades aide les chamelles du troupeau à mettre bas. Une des chamelles y parvient difficilement. Dès la naissance, elle se désintéresse de son bébé et lui refuse son lait. La tradition veut qu'on fasse venir un violoniste pour émouvoir la chamelle et la réconcilier avec son bébé chameau...
À la découverte des peuples autochtones africains, leurs traditions, leurs mœurs, leurs modes de vie. Tous vivent hors du temps et de l’occidentalisation. Tous préservent les coutumes de leurs ancêtres, et protègent leur univers de la mondialisation.
Hélène Lapiower interroge les siens, juifs de la Diaspora ayant fui l'antisémitisme et la Pologne, convertis au bouddhisme, à l'islam ou tenants d'une tradition qu'ils voient se diluer génération après génération. Entre la Belgique et les Etats-Unis, en Yiddish, anglais ou français, l'actrice-réalisatrice recueille la parole d'une famille qui porte au quotidien le terrible poids de l'histoire.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
Paris, 1962. Pauline, étudiante, 17 ans, et Suzanne, 22 ans et déjà deux enfants, sont amies mais la vie les sépare et chacune vit son combat de femme à sa façon. Pauline trouve l'amour en Iran puis chante dans un groupe engagé et itinérant. Suzanne s'implique dans le Planning familial. Un musical féministe qui retrace l'esprit libertaire et militant des années 70.
Le jeune réalisateur suisse Gaël Métroz part seul, caméra au poing, sur les traces de l'écrivain Nicolas Bouvier. Il découvre que l'Orient n'est plus la terre insouciante des années 50 relatée dans « L'Usage du Monde ». En dessinant sa propre route, Gaël Métroz révèle la philosophie du voyage prônée par l'écrivain.
La bonne humeur - el gusto - caractérise la musique populaire inventée au milieu des années 1920 au cœur de la Casbah d’Alger par le grand musicien de l’époque, El Anka. Elle rythme l’enfance de ses jeunes élèves du Conservatoire, arabes ou juifs. L’amitié et leur amour commun pour cette musique les rassemblent pendant des années au sein du même orchestre jusqu’à la guerre et ses bouleversements.
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