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Staline se repose aux côtés de Lidia, sa maîtresse, dans un château au milieu de la forêt. Dans son bureau, il y a un divan qui ressemble à celui de Freud à Londres. La nuit, il propose à Lidia de jouer les psychanalystes. Le jour, il reçoit un jeune peintre venu présenter au dictateur l’œuvre qu’il a conçue à sa gloire. Un rapport trouble s'instaure entre les trois protagonistes.
Évocation du règne de Louis II de Bavière, protecteur des arts (et en particulier mécène de Richard Wagner qui lui dut son salut et la possibilité de réaliser ses plus belles œuvres) et de la complicité presque amoureuse qui le lie avec sa cousine Sissi.
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