En août 2016, Rio de Janeiro accueille les Jeux olympiques d'été. À quelques pas du stade Maracanã, une centaine de familles miséreuses tentent de survivre dans un immeuble désaffecté contrôlé par des narcotrafiquants.
En Namibie et en Afrique du Sud, au milieu de la savane où zèbres, gnous et autres buffles paissent en toute tranquillité, ils sont en vacances. De riches touristes allemands et autrichien déboursent des milliers d'euros pour venir abattre des animaux. Fébriles et excités, ils cherchent le grand frisson en donnant la mort, avant de poser fièrement devant leur trophée.
Une évocation de la lutte menée par les Black Panthers dans l'Amérique des années 1960 et 1970 .
Un an après la mort d’Alton Sterling, une chronique de la communauté Afro-américaine de Baton Rouge en Louisiane, durant l’été 2017, quand une série de meurtres violents agite le pays. Une réflexion sur la question raciale, un portait intime de celles et ceux qui luttent pour la justice, la dignité et la survie dans un pays qui les maintient à la marge.
La vallée de l'Okanagan, au sud-ouest du Canada, accueille de riches touristes en quête de dépaysement. Au pied des luxueuses villas, les ouvriers agricoles s'activent. Pour la plupart des immigrés Sud Américains, à qui l'on confie les tâches les plus pénibles et ingrates.
Ouvrir La Voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. En tant que femmes noires, elles font l'expérience de la différence deux fois, tributaires de clichés spécifiques liés aux identités "femme" et "noire".
Régis Sauder revient dans le pavillon de son enfance à Forbach. Il y a 30 ans, il a fui cette ville pour se construire contre la violence et dans la honte de son milieu. Entre démons de l’extrémisme et déterminisme social, comment vivent ceux qui sont restés ? Ensemble, ils tissent mémoires individuelles et collectives pour interroger l’avenir à l’heure où la peur semble plus forte que jamais.
En Birmanie, le « Vénérable W. » est un moine bouddhiste très influent. Partir à sa rencontre, c’est se retrouver au cœur du racisme quotidien, et observer comment l'islamophobie et le discours haineux se transforment en violence et en destruction...
À travers les propos et les écrits de l’écrivain noir américain James Baldwin, Raoul Peck propose un film qui revisite les luttes sociales et politiques des Afro-Américains au cours de ces dernières décennies. Y sont racontés les assassinats de Martin Luther King Jr, Medgar Evers, membre de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) et Malcolm X.
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes et les questionne. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes # En parallèle de ce documentaire (ici, la version sortie en salles, 2h), vous retrouverez en vod sur Universciné la version intégrale en 3 épisodes (1h20, 1h10, 1h14)
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 1 : Les Arabes
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 3 : Les Juifs
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 2 : Les Noirs
Ce montage de blogs vidéo recueillis de 2009 à 2011 tisse un récit collectif diffracté et contradictoire. Bientôt les « FAITS » – mot martelé par chacun dans un équivalent contemporain du chœur antique – s’effacent sous le gribouillis de la rumeur, de l’opinion, de la mise en scène de soi par les locuteurs devant leur webcam.
Retour à Détroit après 25 ans d’absence. A travers une enquête personnelle, Steve Faigenbaum nous dévoile les racines de la plus grosse faillite d’une cité américaine. Une histoire qui nous rappelle que nos villes ne sont pas immortelles…
Ce documentaire retrace l'évolution du mouvement Black Power de 1967 à 1975 au sein de la communauté noire. Le film associe musique et reportages (des rushes en 16mm restés au fond d'un placard de la télévision suédoise pendant plus de trente ans), ainsi que des interviews de différents artistes, activistes ou musiciens qui sont des piliers de la culture afro-américaine.
"Le colonialisme n'est pas une machine à penser, n'est pas un corps doué de raison. Il est la violence à l'état de nature et ne peut s'incliner que devant une plus grande violence." A partir des textes de Frantz Fanon et d'images d'archives tournées par le Suède, alors neutre, le film revient sur la décolonisation de l'Afrique et la lutte des peuples en général pour leur liberté.
Tourné clandestinement, censuré, sorti 30 ans après sa réalisation... ce documentaire rare rappelle comment la manifestation pacifique organisée à Paris le 17 octobre 1961, pour protester contre le couvre-feu imposé aux Algériens par le Préfet de Paris, Maurice Papon, a été réprimée dans le sang. Un bilan accablant pour la police française.
Une enquête inédite à la rencontre des œuvres qui furent réalisées clandestinement dans les camps nazis. Le film dialogue avec les rares artistes déportés encore vivants et avec les conservateurs de ces œuvres. C'est une quête sensible entre visages, corps et paysages, pour interroger l’idée de beauté et éprouver ce qu’est l’honneur d’un artiste.
Durant sa jeunesse, Angela Davis est profondément marquée par son expérience du racisme, des humiliations de la ségrégation raciale et du climat de violence qui règne autour d’elle. Devenue un symbole de la lutte contre toutes les formes d’oppression : raciale, politique, sociale et sexuelle, Angela Davis incarne, dans les années 70, le " Power to People ".
En 2002, J.D. charge sa carabine, parcourt Grande-Synthe et assassine un jeune Maghrébin. Plus de dix ans après les faits, le film suit la route empruntée par le tueur et confronte la ville et ses métamorphoses à la voix de J.D., reconstituée d’après le dossier d’instruction de son procès. Ce film a reçu le Prix de L'institut français - Louis Marcorelles au Festival Cinéma du Réel 2015.
Au départ, Marc Scialom aurait dû réaliser "Le Citronnier", l'histoire d'une rencontre, à Marseille entre un jeune Marocain et une juive tunisienne. Mais la mort de Mohammed, qui devait incarner le jeune homme, interrompt brusquement le projet. Un autre film reste à faire : celui qui raconte le désarroi du réalisateur.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
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