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Peter Greenaway (dé)masqué
Shakespeare, la peinture, la video, la musique, la danse... Dans Prospero's Books, la profusion de références qui éclate sur l'écran pourrait égarer le spectateur. A moins que celui-ci ne devienne un peu plus exigeant, à l'image du cinéaste. Dans un article paru en 1997 dans la revue Tausend Augen, Gilles Maury rappelle l'importance des "masques", forme ancienne de réjouissance qui, depuis le XVIe siècle, entament un imaginaire dialogue avec les expériences modernes de Greenaway.