
Michael Cuesta : "Avec un adolescent, on ne sait jamais ce qui va arriver..."
Lycéen à Long Island, Michael Cuesta étudie la photo et le design à la School of Visual Arts de New York et réalis1
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Trois adolescents, trois solitudes. Sexe et mort, chagrin et violence...: après le perturbant "L.I.E", le deuxième film, désenchanté, de Michael Cuesta.
Trois adolescents, trois solitudes. À douze ans, l'entrée dans un monde adulte devient délicat, cocasse, dérisoire et violent. Le sexe et la mort... Le chagrin et la violence... Après le très perturbant "L.I.E" le deuxième film de Michael Cuesta explore les terres sauvages de l'enfance avec une sensibilité qui navigue entre désenchantement et courage, et avec l'espoir que l'amour pourrait, peut-être, changer l'horizon.
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"... trois portraits réalistes et effrayants (...) Michael Custa comprend la complexité de leurs émotions, leur interprétation du monde adul
" Voici un film qui explore l'univers familier des verts paradis de l'enfance pour en révéler l'envers radical, sur fond de banlieue américa
" Voici un film qui explore l'univers familier des verts paradis de l'enfance pour en révéler l'envers radical, sur fond de banlieue américaine finalement très universelle (...)
Comme dans son premier film, L.I.E. (2001), il se place du côté de la jeunesse de ceux qu'il filme, pour retrouver cette part d'enfance, secrète et menacée, qu'il leur reste malgré tout. C'est la maladresse de Malee quand elle vampe son prince charmant, c'est l'idée cocasse que trouve Leonard pour lutter contre le régime gras de sa mère, et c'est la rage de Jacob, qui voudrait être aussi impressionnant que son héros, le tueur de films d'horreur Jason. Le malheur, c'est qu'il le sera. Le jeu, la violence vraie, tout se mélange ici.
Michael Cuesta pointe des coupables : des parents égocentriques qui manipulent leurs rejetons, les abandonnent au chaos. Si les portraits du père et de la mère de Jacob sont un peu chargés, Twelve and holding vaut mieux qu'un pamphlet sur l'éducation : c'est un film qui parle en adulte à notre imaginaire et nos émotions d'enfants."
"... ces préadolescents (...)sont mis en scène avec une rigueur dramatique dénuée de toute mièvrerie. Un beau mélange de noirceur et d'innoc
" ... captive jusqu'à un dénouement qui devrait faire date comme l'un des plus glaçant qui se puisse envisager."
"... pour en finir avec les références, 12 and Holding, par sa manière de creuser les troubles de l’adolescence dans la banlieue américaine,
"... pour en finir avec les références, 12 and Holding, par sa manière de creuser les troubles de l’adolescence dans la banlieue américaine, s’approche presque du Gregg Araki dernière manière, celui de Mysterious Skin, très fort dans la description subjective d’une recherche douloureuse de l’identité adolescente."
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