Un crime, 8 femmes, toutes isolées dans une grande maison bourgeoise à la campagne. Qui est la coupable ? Un jeu de dupes et de stars, drôle, kitsch et musical.
Années 1950. Dans une grande demeure bourgeoise en pleine campagne où l'on s'apprête à fêter Noël, le maître de maison est assassiné pendant la nuit. Seules 8 femmes étaient présentes. Commence une longue journée d'enquête, faite de disputes, de trahisons et de révélations. Qui est la coupable ? Un jeu de dupes et de stars, drôle, kitsch et musical.
"Tel les bons restaurants, où il suffit de humer une fois la porte passée pour savoir qu'on va se régaler alors que rien n'a encore rejoint l'assiette, 8 Femmes impose d'emblée sa perfection."
Jean Roy
Première
"Pour ce qui est des stars, 8 Femmes affiche complet. Pour autant, Ozon ne fait pas dans la mise en plis. Au contraire ! Sans trop ébouriffe...
"Pour ce qui est des stars, 8 Femmes affiche complet. Pour autant, Ozon ne fait pas dans la mise en plis. Au contraire ! Sans trop ébouriffer les yeux avec sa réalisation, il décoiffe les mythes et dépoussière les esprits"
Christophe Carrière
Le Monde
"Un bonheur de spectateur. Avec verve et finesse, 8 femmes suscite rire et émotion, d'une qualité inhabituelle dans le cinéma contemporain."
" On se fiche de l'intrigue, en fait inspirée d'une vieille pièce de boulevard. Et même des personnages. Ce qui a passionné François Ozon, c'est la vérité de ses actrices. La fausse réserve de l'une, la fausse insolence de l'autre. Leur démarche. Leurs voix, musicales, s'opposant ou s'épousant. On est à 100 lieues du réalisme, de la vraisemblance, du naturel. Ozon joue sur la volupté de l'artifice, quand il devient une sorte d'art. Entre kitsch et nostalgie. Comme il s'agit d'abord d'un jeu, le réalisateur accentue - à mort, si l'on ose écrire - la sophistication. Les décors et les costumes, follement années 50, rendent hommage au cinéma hollywoodien. Et de petits couplets chantés interrompent l'action. Coquetterie ? Non. Puisque chaque chanson révèle la solitude des héroïnes. Avec la morale finale, qu'interprète Darrieux : « Il n'y a pas d'amour heureux. » Entre-temps, Ozon aura - comme d'habitude, mais mieux que d'habitude - dynamité l'hypocrisie des braves gens et des bonnes moeurs. Les huit comédiennes sont splendides."
Pierre Murat
Le Figaro
" Elles sont toutes étincelantes d'élégance et d'invention. Il leur arrive de pousser la chansonnette: c'est exquis. D'être de sales garces...
" Elles sont toutes étincelantes d'élégance et d'invention. Il leur arrive de pousser la chansonnette: c'est exquis. D'être de sales garces ou d'affreuses salopes: c'est succulent. On pourrait trouver le film misogyne: mais non, puisqu'elles sont là !'
Marie-Noëlle Tranchant
Avis
elsasarfati
au sujet de
8 femmes
Une distribution magnifique, un film agréable et amusant
elsasarfatiau sujet de
8 femmes
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Une distribution magnifique, un film agréable et amusant