Victor et Rainer se retrouvent un samedi soir pour zoner ensemble sur Paris. Mais tandis que la nuit les emporte, les rencontres et désillusions s’enchaînent...
Victor et Rainer se retrouvent un samedi soir pour zoner ensemble. Alors qu’ils traversent Paris, les rencontres et désillusions s’enchaînent. Mais tandis que la nuit les emporte, ils s’éloignent de la ville vers la forêt. Dans le silence de la nature, le désir entre les deux adolescents se fait de plus en plus frémissant. De leur amitié naît un nouveau jour.
" Pourquoi, en dépit ou en fonction de ses errements, ce film au fond timide, pas si voyant qu'il le voudrait, donne tant envie d'être soutenu, accompagné ? Parce qu'électriquement et plastiquement, il unit l'amour du cinéma à la trouble incandescence d'une amitié."
Florent Guézengar
Télérama
" Les comédien(ne)s sont comme des apparitions — Héléna Klotz a recruté les deux principaux au hasard de déambulations dans la ville. D'où l...
" Les comédien(ne)s sont comme des apparitions — Héléna Klotz a recruté les deux principaux au hasard de déambulations dans la ville. D'où l'impression d'entendre le manifeste d'une nouvelle génération, aux prises à son tour avec le désenchantement, la solitude, se demandant comment vivre, et réinterprétant la partition d'aînés imaginaires — le duo masculin de La Fureur de vivre, de Nicholas Ray, celui de My own private Idaho, de Gus Van Sant. Quand les deux jeunes gens, aux sentiments mutuels mais si désaccordés, se retrouvent à nouveau seuls au monde, au bout de la nuit, ensemble et séparés, au milieu d'un instant d'éternité, on croit comprendre le titre : l'âge atomique, celui qui fait exploser l'espace-temps."
Louis Guichard
Libération
" Une approche si étrange, si tranquille, mais bizarre justement à cause de ce mélange de quiétude et d’inquiétude."
" Deux adolescents s’enfoncent dans la nuit parisienne pour une virée mi-festive, mi-mélancolique. Sensuel, entêtant et diablement romantique, le premier film d’une voix singulière."
Romain Blondeau
Le Nouvel Observateur
"Le premier film d’Héléna Klotz se signale par les images magnifiques que signe Hélène Louvart et la qualité d’une bande-son très travaillée...
"Le premier film d’Héléna Klotz se signale par les images magnifiques que signe Hélène Louvart et la qualité d’une bande-son très travaillée : L’Âge atomique, qui suit la dérive nocturne de deux jeunes potes, de la ville à la forêt, témoigne d’une maîtrise de cinéaste déjà assez impressionnante et dont on attend maintenant qu’elle trouve à s’exprimer sur une matière plus dense."
Pascal Mérigeau
L'Humanité
"Tout l'enjeu de la mise en scène, c'était ça : savoir ce que je vpux raconter et de quelle manière, pour créer un certain effet sur le spec...
"Tout l'enjeu de la mise en scène, c'était ça : savoir ce que je vpux raconter et de quelle manière, pour créer un certain effet sur le spectateur afin qu'il rencontre intimement cette histoire. Ainsi ce film si étroitement centré sur la justesse de l’observation sait-il s'échapper vers le fantastique. (...)
Elle est d'Ulysse Klotz, frère d’Héléna et, tout au long, elle aura contribué à « créer un certain effet sur le spectateur afin qu'il rencontre intimement cette histoire ».
Ce film a eu, en 2012, le prix Jean-Vigo, le prix Fipresci à Berlin et le grand prix du jury à Angers."
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