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Un reporter japonais se lance à l'assaut de l'Everest pour en savoir plus sur le destin tragique d'un grand alpiniste disparu en juin 1924.
À Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, cet alpiniste que l'on pensait disparu depuis des années. Il semble tenir entre ses mains un appareil photo qui pourrait changer l’histoire de l’alpinisme. Et si George Mallory et Andrew Irvine étaient les premiers hommes à avoir atteint le sommet de l’Everest, le 8 juin 1924 ? Seul le petit Kodak Vest Pocket avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. 70 ans plus tard, pour tenter de résoudre ce mystère, Fukamachi se lance sur les traces de Habu. Il découvre un monde de passionnés assoiffés de conquêtes impossibles et décide de l’accompagner jusqu’au voyage ultime vers le sommet des dieux. Présenté à Cannes en 2021.
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"Film d’animation, Le Sommet des dieux tient un discours éminent et profond sur le désir des hommes de surpasser la
"Film d’animation, Le Sommet des dieux tient un discours éminent et profond sur le désir des hommes de surpasser la nature. Un conte philosophique esthétique, réaliste, plein de suspense, qui intéressera par-delà les aficionados des sports alpins." - Publiée le 21 septembre 2021.
Olivier Bombarda"Un film exceptionnel, remarquablement mis en scène qui, en effet, atteint des sommets."
"Le pari formel, remarquable réussite, est celui d'une animation hybride, simplifiant et occidentalisant le trait de Jir&oci
"L'immensité des paysages, la profondeur des crevasses, l'adrénaline du vide, tout y est. On se surprend à
"L'immensité des paysages, la profondeur des crevasses, l'adrénaline du vide, tout y est. On se surprend à s'accrocher à son siège comme à une façade rocailleuse. Le dessin est fin, largement inspiré du style de Jirô Taniguchi, pour un rendu visuel sublime." - Publié le 19 septembre 2021.
Leela BadrinathHymne à l’inhumaine beauté des montagnes, la dernière partie du film est remarquable et nous transporte litt&eacu
Hymne à l’inhumaine beauté des montagnes, la dernière partie du film est remarquable et nous transporte littéralement sur le toit du monde. Une impression pleine, entière, rarement éprouvée devant un écran ou dans une salle de cinéma. Mention spéciale pour la bande-son : à mesure que l’on s’élève, elle se substitue peu à peu aux paroles et à la partition subtile composée par Amine Bouhafa qui tutoie, elle aussi, les nuages.
Retrouvez la critique complète ici.
Stéphane Jarnomarclandry.nb@gmail.com au sujet de
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