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Une belle amitié naît entre Joëlle et Camille. Elles partent sur les routes et arrivent dans une ville en pleine nuit, où Joëlle est agressée par des hommes...
Au bord d'une plage plutôt désertique, une jeune femme habillée en mariée, Joëlle, est dérouillée par un type qui s'en va dans une Porsche noire. Arrive Camille qui pousse un caddie surmonté de mouettes. Elle la ramasse et l'emmène chez elle. Entre la fille perdue et la lycéenne qui prépare son bac, naît une belle amitié. Après avoir fait l'amour avec un jeune peintre qui les observait depuis son appartement, les deux copines partent sur les routes. Elles arrivent dans une ville en pleine nuit. Dans une salle de banquet, Joëlle est agressée par un groupe d'hommes. Marc-Antoine, le médecin appelé à la rescousse, est un ancien amant de Joëlle.
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"Un chef-d’œuvre, déroutant mais flamboyant. (...) Blier fait éclater toutes les nonnes du cinéma, br
"Un chef-d’œuvre, déroutant mais flamboyant. (...) Blier fait éclater toutes les nonnes du cinéma, brise la continuité et même la logique du récit, télescopant les époques et les personnages au gré d’une inventivité délirante. On savait déjà que le réalisateur de Trop belle pour toi était l'un des rares « cinéastes-auteurs » à avoir rencontré le grand public. Il est ici le premier peut-être a retenir les leçons de la révolution godardienne et a en tirer un morceau de pur cinéma, virtuose, provoquant mais surtout prodigieusement émouvant. (...)
Charlotte Gainsbourg qui parcourt cette improbable saga avec ses moues touchantes, ses regards éperdus et des crises verbales qu’on ne lui imaginait guère. Petite brune électrique, Anouk Grinberg lui chipe un peu la vedette. Deux heures durant elle pétale, chiale, hurle, trépigne en montrant une gouaille et une santé exceptionnelles. Parmi les grenades dègoupillées que Blier balance avec délectation dans Merci la vie, elle n'est pas la moins explosive."
" Bertrand Blier, dialoguiste étincelant, a de la repartie. Au désespoir, il répond par une salve d’audaces
" Bertrand Blier, dialoguiste étincelant, a de la repartie. Au désespoir, il répond par une salve d’audaces, d’insolences et de fous rires. A la mort ordinaire, par une promesse de lévitation. A l’insupportable, par l’hypothèse d’un fantasme ou d’un cauchemar. Aux confins de l’horreur et au bout de deux heures d’un film terrible et magnifique, Bertrand Blier nous réserve en effet une porte de sortie : mettons que ça n’était que du cinoche...(...) On retrouve chez Blier cette propension au baroquisme ravageur.
Merci la vie, c’est la version rococo, l’allégorie flamboyante de tous les fléaux de cette fin de siècle qui guettent les contemporains de Charlotte Gainsbourg et d’Anouk Grinberg. Blier enrage, Blier délire, Blier est un zappeur fébrile, on dirait qu’il apostrophe Dieu, et l’accuse. Son road movie où il mène deux filles vers l’apocalypse figure un pèlerinage vindicatif (...).
Cela fait longtemps qu’on attendait le film de cette époque nébuleuse où l’on se bat au Proche-Orient, dans les hôpitaux, dans les banlieues, où l’amour est mortel, la naissance in vitro, et l’homme impuissant. Le voici enfin, obsédant et monumental. Il fallait du cran, de la fureur, une liberté insensée et un sacré talent : merci, Blier !"
" C’est quoi, Merci la vie,dans la « filmo » de Bertrand Blier ? Son douzième long métrage en vingt-se
" C’est quoi, Merci la vie,dans la « filmo » de Bertrand Blier ? Son douzième long métrage en vingt-sept ans d’une carrière de cinéaste à rebrousse-poil. Et sans doute son film le plus « plein », le plus constamment surprenant, qui brasse et embrasse, en un grand mouvement enveloppant, le temps de vivre et le temps de mourir.
Le picaresque des Valseuses revient en boomerang (mais dans un rapport inversé, puisque ici les nanas font la loi), un picaresque travesti, en une symphonie baroque, loufoque et profondément tragique. S’il est un film qui défrise et « déconsensualise », c’est bien celui-ci, comme en état de fièvre superbement orchestrée, de provocation dérangeante et de malaise persistant (bien après la fin de la séance). C’est qu’on y reçoit, comme un peu tous les personnages, des baffes bien appliquées.
Merci la vie (vous voyez toute la dérision ricanante du titre ?) est un cauchemar éveillé ou un éveil cauchemardesque, c’est selon. Car le rêve et la réalité, la vie et son commentaire, s’y fracassent la mâchoire en un jeu (avec le feu) qui nous entraîne avec une allégresse noire dans un labyrinthe où la vérité douloureuse des êtres se fond dans le fantasmagorique.
Mieux, le nouveau Blier est un film qui se regarde être un film, un film en noir et blanc en train de se tourner devant nous (une histoire d’Occupation et de résistants)
(...) Vous avez dit chef-d’œuvre ? "
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