À Casablanca, entre le passé et le présent, cinq destinées sont reliées sans le savoir par un même désir de liberté.
À Casablanca, entre le passé et le présent, cinq destinées sont reliées sans le savoir. Différents visages, différentes trajectoires, différentes luttes mais une même quête de liberté. Et le bruit d’une révolte qui monte….
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Si Razzia est une fresque aux ambitions romanesques impressionnantes, il n’en oublie pas moins de nous proposer un ré
Si Razzia est une fresque aux ambitions romanesques impressionnantes, il n’en oublie pas moins de nous proposer un récit organique. Nabil Ayouch prend ainsi garde, malgré une structure complexe et sacrément bien huilée à laisser la narration respirer. Conscient du mouvement parfois presque épique qui le traverse, le métrage se permet des digressions, des allers-retours, pour se pencher sur ses personnages secondaires.
Retrouvez la critique complète ici.Portraitiste talentueux, le réalisateur regarde chaque personnage intensément. Avec Salima, compagne de Jawad, qui voudrait c
Portraitiste talentueux, le réalisateur regarde chaque personnage intensément. Avec Salima, compagne de Jawad, qui voudrait contrôler ce qu’elle fait, ce qu’elle dit, ce qu’elle enfile pour sortir. Avec Hakim aussi, jeune homme qui endure les regards de mépris de son père, parce qu’il veut devenir chanteur. Le désamour est partout, la facilité à condamner efface les liens. Courageusement, Razzia montre une nation d’idéologues, arc-boutés sur des diktats moraux, religieux. Le film n’est pourtant pas accusateur. C’est avec une sensibilité émue qu’il pointe le risque de déshumanisation de cette société où tout n’est que valeurs, vraies ou fausses, jugements de valeurs et préjugés.
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Après Much Loved, Nabil Ayouch persiste et signe, sur une tonalité moins frontale et “polémique” (pour
Après Much Loved, Nabil Ayouch persiste et signe, sur une tonalité moins frontale et “polémique” (pour la morale officielle marocaine). A travers les destinées croisées de cinq personnages, le réalisateur continue de porter son regard critique sur l’évolution politico-sociale de son pays [...].
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