Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent
La fille d'un savant juif mort à Auschwitz retourne à Volterra, sa ville natale, en compagnie de son mari.
Sandra, fille d’un savant juif mort à Auschwitz, retourne à Volterra, sa ville natale, en compagnie de son mari américain. Elle y retrouve sa mère, femme jadis très belle et désormais gagnée par la folie, son frère qui éprouve pour elle une affection presque morbide, et l’administrateur des biens de la famille, ex-amant de sa mère ayant joué un rôle un peu trouble dans la déportation de son père… Réécriture moderne du mythe des Atrides, Sandra remporte le Lion d'Or à la Mostra de Venise en 1965.
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"(...) Loin de l’esthétisme en cinémascope et technicolor du Guépard, Visconti choisit, avec Sandra, de resserrer le cadre et de filmer en n
"(...) Loin de l’esthétisme en cinémascope et technicolor du Guépard, Visconti choisit, avec Sandra, de resserrer le cadre et de filmer en noir et blanc. Le travail sur la photographie est particulièrement admirable. Il est comparable (dans un autre registre) à celui accompli sur Nuits blanches, avec un jeu sur les contrastes, tout en ombres et lumières, qui découpent l’espace et les visages comme une allégorie des désordres intérieurs des personnages. L’usage du noir et blanc donne aussi au palais de Volterra un aspect presque anachronique qui serait complètement hors du temps s’il n’y avait ces intrusions d’objets contemporains (une caméra Super 8, une radio branchée sur des tubes sixties) pour nous reconnecter avec le temps réel du récit. Grâce à cette distanciation plastique, Visconti peut, non sans ironie, offrir des moments d’hyperthéâtralité assumée. La dramatisation de l’arrivée de Gianni et de ses retrouvailles avec Sandra semble ainsi tout droit sortie d’un giallo italien. La direction d’acteur ne cherche pas non plus la vraisemblance naturaliste, à l’image du jeu de Claudia Cardinale qui flirte avec l’expressionnisme du cinéma muet, ou encore des derniers adieux de Gianni où la douleur est complètement surjouée. (...)"
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE