Après la mort de son meilleur ami, Daniel échoue à l’hôtel Métropole. Succombant à la violence qui l'entoure, il rencontre Francine, qui pourrait le sauver...
Suite à la mort accidentelle de son meilleur ami, Daniel échoue à l’hôtel Métropole, un refuge pour les exclus et les âmes perdues. Rongé par la culpabilité, il succombe peu à peu à la violence qui l'entoure mais sa rencontre avec Francine va éclairer son existence...
"Rongé par la culpabilité après la mort accidentelle de son frère de cœur, un jeune délinquant (Gael Garcia Bernal) bascule progressivement dans la violence et l’exclusion… Noir c’est noir. Voila plus de dix ans que Gael Garcia Bernal n’avait pas tourné en France. Après La science des rêves de Michel Gondry, c’est à une jeune réalisatrice inconnue qu’il a choisi de faire confiance et on comprend mieux pourquoi au vu du résultat, servi par un casting des plus excitants, de l’énigmatique Marine Vacth à la révélation de l’année, Nahuel Perez Biscayart, toujours aussi marquant en fantôme mélancolique. Sombre, lyrique, hanté, ce premier film est une comptine triste, qui pèche parfois par son maniérisme et son opacité, mais redonne un sacré coup d’ambition au naturalisme social made in France."
Karelle Fitoussi
Télérama
"Un magnifique prologue met en scène, au sens fort, un mariage dans une communauté gitane. Il y a de l’ivresse, un suspense diffus, comme un...
"Un magnifique prologue met en scène, au sens fort, un mariage dans une communauté gitane. Il y a de l’ivresse, un suspense diffus, comme une tragédie en marche. Puis le film s’installe dans son décor principal, un hôtel miteux à la périphérie d’on ne sait où. Le héros, hanté par la mort d’un être cher et un sentiment de culpabilité, y prend une chambre, comme un sas entre l’ici-bas et l’au-delà. Dès lors, ce premier long métrage ondoie entre les souvenirs, les songes et le présent du damné. La violence couve, puis déborde, la rédemption pourrait avoir les traits délicats de Marine Vacth… L’esthétique à la fois glauque et sophistiquée rappelle, un peu trop hélas, le Jean-Jacques Beineix tous néons dehors de La Lune dans le caniveau. Mais, entre la contribution sensible du romancier Santiago Amigorena et la musique élégante de Gabriel Yared, ce film noir offre quelques beaux éclats."
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