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Un bataillon trouve 46 millions de dollars enterrés dans la forêt colombienne. Les soldats gardent le trésor. Mais à quoi sert-il loin de la civilisation ?
En plein milieu de la forêt colombienne, le soldat Perlaza découvre 46 millions de dollars enterrés dans des tonneaux par les FARC. L'histoire, inspirée de faits réels, est celle des rêves et des aventures de quatre soldats du bataillon "Destroyer". Les soldats décident de garder l'argent mais la situation devient absurde : ils n'ont ni nourriture ni eau mais dorment sur des lits de dollars. Leur défi sera donc de retrouver la civilisation pour accomplir leurs rêves.
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" En ajoutant des grandes doses d'ironie et un ton de comédie légère à ce qu'est arrivé, Rodrigo Triana (Como el gato y el ratón) a réalisé
" En ajoutant des grandes doses d'ironie et un ton de comédie légère à ce qu'est arrivé, Rodrigo Triana (Como el gato y el ratón) a réalisé un film qui est rapidement devenu l'étandard d'une cinématographie réduite mais en croissance continue (...)".
"Des événements réels sont racontés par le colombien Rodrigo Triana dans un film cocasse et méritoire : Soñar no cuesta nada (...). On avait
"Des événements réels sont racontés par le colombien Rodrigo Triana dans un film cocasse et méritoire : Soñar no cuesta nada (...). On avait déjà vu des soldats fictionnels garder leur butin en pleine guerre (De l'or pour les braves, Les Rois du désert), mais jamais d'aussi écervelés, incroyables et tristement réels que ceux de Soñar no cuesta nada."
Javier Ocaña" (...) dans une production de première qualité, devant des caméras qui parviennent à nous faire ressentir ce qu'est en train de se passer,
" (...) dans une production de première qualité, devant des caméras qui parviennent à nous faire ressentir ce qu'est en train de se passer, des bons acteurs parviennent à nous mettre du côté des soldats qui en mai 2003 ont tout essayé pour garder 46 millions de dollars trouvés dans un campement des FARC(...). Ensemble, ils constituent le portrait le plus intéressant du "colombien" qu'on ait eu au cinéma depuis le film de 1987 El Embajador de la India (L'Ambassadeur de l'Inde).
(...) Que personne ne traite les films colombiens comme des films colombiens. Que personne ne les applaudisse pour leur effort. Que personne ne les critique du haut de cette arrogance (ce plaisir que nous éprouvons en disant "le cinéma colombien est mauvais") qui nous oblige à condamner la production nationale avant de la connaître. Pardonnons au film ses quelques dérapages. Mais faisons-le, bien entendu, parce qu'il a de la valeur. "
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