Ronen Matalon a une passion pour sa ville, Jérusalem. Il propose aux touristes, notamment japonais, des tours gratuits afin de découvrir les endroits où ont eu lieu des attentats dans la cité. Lors d'une visite, il rencontre Asia Mulan, une compatriote, exilée à Barcelone depuis 4 ans...
À Jérusalem, Saleem, un livreur palestinien et Sarah, une tenancière de café juive, sont amants. Ils sont mariés, l'un avec Bisan qui est enceinte, l'autre avec David, un officier de police israélien. La liaison entre Sarah et Saleem reste secrète jusqu'au moment où ils sont vus en train de se disputer dans un bar...
Après "Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin", film-enquête et choral sur l'assassinat en 1995 du Premier ministre israélien, Amos Gitaï a imaginé une « fable » sur le même sujet, nourrie par les souvenirs de Leah Rabin. Quatre protagonistes féminines, quatre voix associées dans un mode récitatif, « entre lamentation et berceuse » remontent le cours de l'Histoire et de la violence.
Mousa pensait pouvoir revendre sans problème cette voiture israélienne volée, s'acheter un visa pour quitter le pays et en finir avec son histoire d'amour destructrice. C'était avant de découvrir que le coffre recelait un soldat israélien kidnappé. Avec la police israélienne et les milices palestiniennes à ses trousses, ses projets à court terme sont à revoir.
Presque cinquante ans après la Guerre des Six Jours, une jeune réalisatrice exhume des entretiens interdits conservés au secret par l'armée israélienne. Sur les bandes, de jeunes soldats de Tsahal se confient sur les directives qui leurs furent données avant le conflit, sur leur première expérience du feu et sur la peur, qui fut la réalité de cette guerre comme de toutes les autres.
Vingt ans après l'assassinat d'Yitzhak Rabin, Amos Gitaï revient sur l'événement en le replaçant dans son contexte politique et sociétal. Un thriller politique.
En Palestine, trois sœurs issues de l’aristocratie chrétienne ont perdu leur terre et leur statut social après la guerre des Six Jours de 1967 avec Israël. Incapables de faire face à leur nouvelle réalité, elles s’isolent du reste du monde en s’enfermant dans leur villa. L’arrivée de leur jeune nièce, Badia, bouscule leur routine et elles décident de lui trouver un mari.
"Une chronique d'amour et de douleur" dit le sous-titre. A Nazareth, sous l'apparence d'une banale normalité, la ville est prise de folie. Pendant ce temps, une histoire d'amour se déroule entre un Palestinien qui vit à Jérusalem et une Palestienne de Ramallah... Prix du jury au Festival de Cannes 2002.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Après une tempête, Jafaar, un pêcheur palestinien de Gaza, remonte par hasard dans ses filets un cochon tombé d’un cargo. Bien décidé à se débarrasser de cet animal impur, il décide toutefois d’essayer de le vendre afin d’améliorer son existence misérable. Le pauvre Jafaar va rapidement se rendre compte de la difficulté de ce commerce rocambolesque… César 2012 du meilleur premier film
Accompagné d'un commentaire écrit par Joseph Kessel et composé d’archives, souvent inédites, le film retrace l’histoire conflictuelle du « fait israélien » : l’implantation des premiers colons sionistes en Palestine au début du siècle, « le foyer national juif » au lendemain de la guerre 14-18, la création de l’État d’Israël en 1948 et les guerres israélo-arabes de 1948, 1956 et 1967...
Yacine est vétérinaire dans le dernier zoo de Palestine. Son fils passe du temps avec les animaux et a un lien particulier avec deux girafes. Mais après un raid aérien sur la ville, le mâle meurt et la femelle ne peut vivre seule... Yacine doit de toute urgence lui trouver un nouveau compagnon. Mais le seul zoo qui pourrait l’aider se trouve à Tel-Aviv…
Tal, une jeune Française de 17 ans, vit avec ses parents à Jérusalem. Premier amour, première cigarette... elle profite de son adolescence quand un attentat éclate dans l'un des bars de son quartier. Choquée, elle écrit une lettre à un Palestinien imaginaire et la jette à la mer. De son côté, Naïm découvre la bouteille sur une plage de Gaza et décide de lui répondre.
Sanfur, palestinien, vit dans l'ombre de son frère Ibrahim, militant armé d'un réseau influent. Razi, qui recrute des informateurs dans les territoires occupés, s'en fait un allié, lui offrant l'estime et la bienveillance d'un père. Tentant d'assurer son rôle tout en restant loyal envers son frère, Sanfur va d'un camp à un autre, mais on découvre qu'il participe aux activités de son frère...
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Anna est enquêtrice dans l’armée israélienne. Quand elle confronte un officier d’élite à des accusations de violence gratuite à l’encontre d’un Palestinien, sa propre intégrité et sa détermination sont mises à l’épreuve.
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le cinéaste israélien retourne à son premier amour : l’architecture. Fils de l’architecte Munio Weinraub, Amos Gitaï est lui-même architecte de formation. Il rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques de la Palestine et d’Israël…
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Nimer, un étudiant palestinien réfugié clandestinement à Tel-Aviv, rencontre Roy un jeune avocat israélien. Ils s'éprennent l'un de l'autre. Nimer est confronté aux réalités cruelles de la communauté palestinienne - qui rejette son identité - et de la société israélienne - qui ne reconnaît pas sa nationalité...
Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme fait exploser une bombe. Israélien d’origine arabe, le docteur Amine opère les nombreuses victimes de l’attentat. Au milieu de la nuit, on le rappelle d’urgence à l’hôpital pour lui annoncer que le kamikaze est sa propre femme. Refusant de croire à cette accusation, Amine part en Palestine pour tenter de comprendre.
Au début de la première Intifada, quatre jeunes israéliens font partie d'une troupe de soldat envoyée à Gaza afin de "rétablir l'ordre", comme le leur assure leur commandant. La guerre semble encore être un jeu qui bientôt va se finir, et chacun pourra alors rentrer chez soi.
Toute la complexité du conflit israélo-palestinien dans le combat d’une famille palestinienne et de médecins israéliens pour sauver la vie de Mohammad, 4 mois, né sans système immunitaire et ayant besoin d'une transplantation de moelle osseuse au risque de mourir.
Dans un camp de réfugiés palestiniens en Cisjordanie, Chloé, jeune sage femme québécoise accompagne les femmes enceintes. Entre les checkpoints et le mur de séparation, Chloé rencontre la guerre et ceux qui la portent de chaque côté... A leur contact, Chloé va progressivement remettre ses repères en question.
Elia Suleiman s'inspire des carnets de son père, des lettres de sa mère et de ses propres souvenirs pour évoquer les épisodes marquants de la vie de sa famille. Ces palestiniens qui sont restés sur leur terre natale et ont été étiquetés "Arabes-Israéliens", vivant comme une minorité dans leur propre pays, de 1948 à aujourd'hui.
Un jeune arabe israélien, veut simplement s’amuser avec ses copains, passer des heures à discuter sur son portable et, surtout, trouver l’amour. Mais son père, cultivateur d’olives, veut qu'il le rejoigne dans son combat contre l'antenne installée dans un champ voisin par la compagnie israélienne de téléphone et qu'il soupçonne d'irradier les villageois.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
_TITLE