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«M» comme Menahem, enfant prodige à la voix d’or, abusé par des membres de sa communauté. Quinze ans après il revient à la recherche des coupables, dans son quartier natal de Bnei Brak, capitale mondiale des Juifs ultra-orthodoxes. Mais c’est aussi le retour dans un monde qu’il a tant aimé, dans un chemin où la parole se libère… une réconciliation. Prix spécial du jury 2018 à Locarno.
Ziva Postec est une artiste méconnue qui a voué près de six ans de sa vie au montage de Shoah. Cette dentellière de l’ombre se livre pour la première fois à la faveur d’un récit où des images inédites du tournage refont surface.
Amos Gitaï se rend à nouveau, 35 ans après son documentaire "Journal de campagne", en Cisjordanie, pour rencontrer des associations de défense des droits de l'Homme. Celles-ci mènent des actions de résistances fragiles, qui rassemblent des activistes israéliens et palestiniens. Le film par lui-même est une recherche du chemin de la paix, une recherche de lumière au milieu d’une période sombre.
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes et les questionne. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes # En parallèle de ce documentaire (ici, la version sortie en salles, 2h), vous retrouverez en vod sur Universciné la version intégrale en 3 épisodes (1h20, 1h10, 1h14)
1975. À Rome, Claude Lanzmann filme Benjamin Murmelstein, dernier Président du Conseil Juif du ghetto de Theresienstadt, seul « doyen des Juifs » à n’avoir pas été tué durant la guerre. 2012. Lanzmann, à 87 ans, met en scène ces entretiens de Rome en revenant à Theresienstadt, ghetto mensonge inventé par Adolf Eichmann pour leurrer le monde.
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 1 : Les Arabes
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 2 : Les Noirs
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 3 : Les Juifs
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