Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent
"Prendre soin" est un documentaire d’immersion dans le quotidien de quatre soignants au cœur des unités Alzheimer de maisons de retraite. Aux côtés de Claire, Luca, Antoinette et Lika on découvre ce qui rend le soin possible, les gestes d’un métier méconnu, fait de patience, d’habileté, d’intelligence, de tendresse et souvent d’amour.
Aurélien est charmant, mais il est tourmenté. Aurélien est volubile, mais il est solitaire. Aurélien se sent inadapté, mais il a tout compris. Aurélien est autiste. Filmé, il a délié sa parole, libérant un chant d'une intensité prodigieuse, un miroir tendu vers nous.
Emmanuèle Bernheim et Alain Cavalier sont amies depuis trente ans. La romancière a écrit "Tout s’est bien passé" où elle raconte comment son père lui a demandé « d’en finir » à la suite d’un accident cardio-vasculaire. Le tournage de l'adaptation du film doit être repoussé jusqu’au printemps quand elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer.
Chaque année, plus de 3 millions de pèlerins se rendent à Lourdes. lls cherchent tous du réconfort et certains un miracle. C'est une exploration de la foi à travers le portrait de pèlerins des Antilles, du Nord, du Berry, des militaires, des gitans...
Stéphane Haskell, qui a vaincu un handicap physique grâce au yoga, a filmé des prisonniers à San Francisco, les Massaïs du Kilimandjaro ou posé sa caméra dans les écoles franciliennes pour filmer cette discipline spirituelle et corporelle universelle...
Faire le choix de ne pas manger pour retrouver la santé ? Cette idée saugrenue continue d'intriguer et de diviser mais rencontre aujourd’hui un engouement grandissant dans les médias et dans de nombreuses discussions...
En 1981, Issei Sagawa, défraya la chronique après qu’il ait dévoré le corps d’une de ses camarades de la Sorbonne. Affaibli par la maladie, il habite désormais avec son frère, Jun, qui prend soin de lui. Les réalisateurs partent à sa rencontre.
Percujam est un groupe de Rock'n Slam constitué de musiciens autistes et de leurs éducateurs. Le film mêle des images prises sur le vif pendant les concerts ou les répétitions à des témoignages face caméra des artistes. On parle de musique mais aussi des interrogations de ces artistes concernant l'avenir, l'amour et l'espoir d'une vie heureuse..
Le temps d’une colonie de vacances, Vanessa Gauthier part avec des enfants atteints d’une drôle de maladie invisible... le diabète. Quinze jours pour saisir le quotidien et les mots de ces enfants, pour cerner la dualité entre «être» et «être diabétique»...
Avant 12 jours, les personnes hospitalisées en psychiatrie sans leur consentement sont présentées en audience. D’un côté un juge, de l’autre un patient. Entre eux naît un dialogue sur le sens du mot liberté et de la vie.
Ambre, Camille, Charles, Imad et Tugdual ont entre six et neuf ans. Ils vivent dans l’instant. Avec humour et surtout l’énergie optimiste de l’enfance, ils nous prennent par la main, nous entraînent dans leur monde et nous font partager leurs jeux, leurs joies, leurs rires, leurs rêves, leur maladie. Un film à hauteur d’enfant, sur la vie tout simplement.
"Ce film est adressé à mon ami Vincent, mort il y a dix ans. Vincent était sourd. Il m’avait initiée à la langue des signes. Je lui donne aujourd’hui des nouvelles de son pays, ce monde inconnu et fascinant, celui d’un peuple qui lutte pour défendre sa culture et son identité." Laetitia Carton
Depuis 14 ans, Anne luttait contre un cancer dont elle savait qu’elle ne guérirait plus. Avec la réalisatrice, une amie de longue date, elles décident de filmer ce que signifie la vie avec un cancer chronique.
Artiste peintre, Flore est atteinte de la maladie d'Alzheimer depuis plusieurs années. Elle a été "enfermée" successivement dans deux institutions. Les traitements l'avaient rendue aphasique, muette, elle ne savait plus ni marcher, ni manger, ni sourire.
À la frontière franco-belge, existe un lieu hors du commun qui prend en charge des enfants psychiquement et socialement en difficulté. Jour après jour, les adultes essaient de comprendre l’énigme que représente chacun d’eux et inventent, au cas par cas, sans jamais rien leur imposer, des solutions qui les aideront à vivre apaisés.
« La part du feu, c’est l’écho de la parole de mon père, celle d’un enseignant mort d’un mésothéliome, cancer de l’amiante, cancer d’ouvrier. La part du feu, c’est l’inquiétude qui m’accompagne depuis sa mort et que je décide d’affronter aujourd’hui, dans des paysages contaminés, auprès de ceux qui éprouvent ce même sentiment, pour changer ensemble la peur en action. »
Dans un centre de rééducation, le cinéaste fait la rencontre de femmes et d'hommes amputés, qui sans relâche réapprennent à marcher ou à saisir. Un objet mécanique se substitue désormais à la partie manquante de leur corps. Ils sont devenus hybrides. Sélectionné au festival Cinéma du réel 2016
La consultation se trouve à l'intérieur de l'hôpital Avicenne. C'est un ilôt qui semble abandonné au fond d'un couloir. Une grande pièce obscure et vétuste où atterrissent des hommes malades, marques dans leur chair, et pour qui la douleur dit les peines de l'exil. S'ils y reviennent encore, c'est qu'ils ne désespèrent pas de trouver ici le moyen de tenir debout, de résister au naufrage.
"Décembre 2010 : la révolution éclate en Tunisie, le pays d'origine de mon père. Souffrant du trouble bipolaire, je traverse au même moment un épisode maniaque d'une telle intensité qu'il me laisse presque entièrement amnésique."
Paulette, Avignonnaise d'âge mûr, vit seule et suit un traitement de substitution. Un jour, elle reçoit une lettre de Djilali, du centre pénitentiaire. Il l'aime toujours. Il lui demande de l'attendre.
A l’hôpital Charles Foix d’Ivry, Thierry Thieû Niang, chorégraphe de renom,anime un atelier de danse avec des patients malades de l’Alzheimer. Blanche Moreau, quatre-vingt-douze ans suit ce cours de danse et tombe sous le charme de l’animateur. C'était inimaginable pour elle d'être amoureuse à son âge. Elle n'est ni folle ni délirante, seulement elle succombe à une autre maladie, celle de l'amour.
L’œil du chien dresse le portrait de la réalisatrice et de sa grand-mère. Voyant la maladie manger le visage de celle qui l'a élevée, Laure Portier la filme, se préparant à la voir disparaître. Pour se préparer à l'inévitable, toutes deux tentent de renforcer leurs liens, dans une tendresse partagée.
_TITLE