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Guy passe sa jeunesse en compagnie de sa sœur sur l'ile mystérieuse dont il héritera un jour. Ils partagent cet endroit avec une horde d'orphelins vivant en communauté dans un phare. Leurs occupations sont rigoureusement surveillés par la mère tyrannique de Guy, depuis le sommet du phare, pendant que son inventeur de père travaille jour et nuit dans le plus grand secret, au sous-sol...
Un film épistolaire. Les monologues de quatre personnages distincts s'entremêlent à travers des lettres et des textes intimes. Confidences en voix-off, pendant que défilent des images d'archives tournées en super 8 couleur et 16 millimètres noir et blanc. Présenté au Festival de Venise 2013, un court-métrage splendide de l'auteur de "Tabou" et "Ce cher mois d'août".
Un cinéaste rencontre une femme. Par petites touches, il filme avec sa caméra vidéo des moments de leur vie, des objets, des lieux, puis se rend compte qu'il ne stocke pas des souvenirs mais qu'il construit un film. Il demande à la personne l'autorisation de continuer... Après un an de tournage, 75 minutes de vidéo racontent l'histoire d'un lien tissé dans le quotidien et sublimé par le sentiment.
Un jour, un cinéaste fait un rêve. Il rêve qu'il fait un film qui contiendrait tous les films qu'il a rêvé de faire. Tous les films inachevés, tous les essais tentés et abandonnés ou refusés, tous les projets impossibles se retrouveraient en un film construit à la manière d'un rêve, immense fresque de l'inabouti. A l'arrivée, une oeuvre-somme qui ressemble à une Odyssée intime.
Suivant un rituel bouddhiste séculaire, un moine marche à pas extrêmement lents dans les rues animées de Marseille... Par l'auteur de "The Hole" et "La Rivière", inspirée par un récit de Ch'eng-En Wu, un essai expérimental, méditation cinématographique en forme d'apprentissage à la beauté du monde, transformée, et bousculée par la rencontre avec "l'autre".
En accompagnant cinq personnes en fin de vie, les réalisateurs nous confrontent frontalement à ces corps et ces esprits affaiblis et interrogent notre regard. Il en ressort un grand film sur l’amour. Présenté dans la section "IR/réel" au Cinéma du réel 2018.
Oscar et sa sœur Linda habitent Tokyo. Oscar survit de petits deals de drogue, Linda est stripteaseuse dans une boite de nuit. Un soir, lors d'une descente de police, Oscar est touché par une balle. Tandis qu'il agonise, son esprit, fidèle à la promesse faite à sa sœur de ne jamais l'abandonner, refuse de quitter le monde des vivants...
Domrémy, 1425. Jeannette n’est pas encore Jeanne d’Arc, mais à 8 ans elle veut déjà bouter les anglais hors du royaume de France. Inspirée des écrits de Charles Péguy sur la pucelle d'Orléans, le Jeannette de Bruno Dumont revisite les jeunes années d’une future sainte dans un film musical à la BO électro-pop-rock signée Gautier Serre, alias Igorrr et aux chorégraphies signées Philippe Decouflé.
Selon une légende anglaise, Jeanne d’Arc n’est pas morte au bûcher. On lui brûla les yeux et elle fut déflorée par un étalon Anglais. Elle fut ensuite condamnée à errer sur les champs de bataille, tel un charognard, à l’affût de la vie, à la recherche de vierges encore vivantes.
Une expérience plastique pour répondre aux ténèbres intérieures du cinéaste. Un tournage de 7 jours; tout ce qui est tourné est projeté, sans coupes de montage; une seule prise, jamais deux. Le but : filmer la vie telle qu'elle vient tandis que l'auteur s'entoure de bandelettes blanches, comme l'homme invisible, tandis que l'appartement disparait sous le noir des couches de peinture.
Un film poème en 18 vagues, comme autant de scènes pour décrire Paris et ses paysages urbains traversés par un "jeune mineur étranger isolé", les attentats, les roses blanches, l'état d'urgence, le bleu-blanc-rouge, l'océan atlantique et ses traversées, les volcans, la beat-box, la révolte, la colère, la violence d’État, un chant révolutionnaire, le silence, et la joie… Rien que la joie.
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