May, jeune jordanienne installée à New York, vient passer l’été en famille. Chrétienne, elle s’apprête à épouser un musulman, au dam de sa mère pratiquante...
May, jeune jordanienne installée à New York, vient passer l’été en famille à Amman. Chrétienne de confession, elle s’apprête à épouser un musulman, au grand dam de sa mère pratiquante. May peut néanmoins compter sur le soutien de ses deux sœurs cadettes, aux mœurs plus libérées…
" May in the Summer a pour lui une fluidité narrative impressionnante. Car Cherien Dabis, plutôt que de focaliser sur son nombril, brasse large, menant de front un scénario qui aborde le métissage, la religion, le couple, la sexualité, la tolérance. Sans jamais s'emmêler les crayons, elle slalome entre les écueils en évitant, à travers son autoportrait, une certaine complaisance. La seule coquetterie qu'elle s'accorde est un plaisir de cinéma: un format Scope qui lui permet de filmer avec ampleur une ville, Amman donc, rarement montrée sur grand écran."
Christophe Carrière
Le Monde
" Féministe, le film l'est à plus d'un titre. Il s'articule, exclusivement ou presque, autour de ce gynécée. A travers ces femmes, traversée...
" Féministe, le film l'est à plus d'un titre. Il s'articule, exclusivement ou presque, autour de ce gynécée. A travers ces femmes, traversées par des doutes et des attentes spécifiques à leurs générations, la réalisatrice aborde différents états de la féminité. Le portrait de groupe, plutôt vivant, fonctionne bien, grâce à l'alchimie qui règne entre les belles comédiennes."
Sandrine Marques
Télérama
" Un délicieux moment d'ivresse, à la sortie d'une boîte de nuit, des séances de jogging sous le regard outré ou concupiscent des passants d...
" Un délicieux moment d'ivresse, à la sortie d'une boîte de nuit, des séances de jogging sous le regard outré ou concupiscent des passants d'Amman... La capitale jordanienne, remarquablement filmée, avec sa foule affairée, est un maelström de tôle surchauffée et de rocades poudreuses. Bien plus qu'un décor : un écosystème, où l'héroïne a grandi, et grandit encore."
Cécile Mury
Première
"... la réalisatrice d’origine jordano-palestinienne (...) parvient à faire briller ses deux atouts : le punch des dialogues, délicieusemen...
"... la réalisatrice d’origine jordano-palestinienne (...) parvient à faire briller ses deux atouts : le punch des dialogues, délicieusement incisifs, et le charme d’un casting irrésistible dont elle endosse le rôle principal.
Épaulée par un pétillant trio d’actrices (mention spéciale à l’hilarante Alia Shawkat) et par un Bill Pullman touchant en père indigne, Cherien Dabis fait rimer intercommunautarisme avec légèreté..."
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