Dans une ville américaine tranquille et puritaine des années 70, Cecilia Lisbon, 13 ans, tente de se suicider. Et son acte éclaire d'un jour nouveau sa famille.
Dans une ville américaine tranquille et puritaine des années 70, Cecilia Lisbon, 13 ans, tente de se suicider. Elle a quatre soeurs, de jolies adolescentes. Cet incident éclaire d'un jour nouveau le mode de vie de toute la famille. Celle-ci se referme et les filles reçoivent l'interdiction de sortir. Alors que la situation s'enlise, les garçons du voisinage envisagent de secourir les filles.
"Une telle pertinence dans l'usage des fondements traditionnels de l'art cinématographique, en évitant la prouesse édifiante déplacée et en privilégiant le geste retenu mais éclatant, peut également amener à toucher du doigt le nirvana du cinéma."
Laurent Robert
Le Figaro Magazine
"Le mal de vivre n'a pas d'explication. Il avait des chansons. Il a trouvé son film."
"La mémoire plurielle et exaltée [des disparues] donne au film sa forme spéciale, faite de réminiscences, de rêveries, de fantasmes flous, de souvenirs reconstruits. Sofia Coppola dévide ainsi une vaporeuse élégie, où le temps peut se dilater à la faveur d'un premier baiser, puis sauter sans transition d'avril à octobre. L'échéance qui plane au-dessus des soeurs Lisbon permet à la jeune cinéaste de déniaiser radicalement le film de teenagers. On reconnaît les figures imposées : surprise-partie à la maison sous l'oeil des parents, procession ridicule des garçons venus chercher les filles pour le bal de fin d'année, élection des roi et reine du lycée, dépucelage sur un stade désert... Tout y est, mais tout scintille de l'éclat intense des dernières fois. Eternisée autour d'un tourne-disque, d'un téléphone et de quelques chansons sentimentales, l'adolescence est décidément le pays d'où l'on ne revient pas."
Louis Guichard
Le Monde
"La chronique adolescente, le roman d'apprentissage (...) Tous ces ingrédients figurent dans le film, avec une intensité hyperréaliste qui p...
"La chronique adolescente, le roman d'apprentissage (...) Tous ces ingrédients figurent dans le film, avec une intensité hyperréaliste qui parfois frôle le burlesque et parfois effleure la terreur."
Jean-Michel Frodon
Libération
"Virgin Suicides, encore un film mode, léger ? Plutôt un défilé de spectres blonds, taillés dans une soie crissante par une styliste qui tra...
"Virgin Suicides, encore un film mode, léger ? Plutôt un défilé de spectres blonds, taillés dans une soie crissante par une styliste qui travaille en totale complicité avec les ténèbres. Haute couture."
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