El Hadi, 70 ans, raconte son passé au sein d'un groupe armé secret du FLN : règlements de comptes, tentatives d'assassinat, clandestinité, emprisonnement et déportation en 1962, l'histoire des ex-combattants d'Algérie et celle en train de s'écrire.
Un portrait de la Chine d’aujourd’hui à travers le destin de cinq famille dont le destin est lié à l’hôpital N°6 de Shanghai. La solidarité, la tendresse et le sens de l’humour permettent aux familles et patients de tenir le cap face aux aléas de la vie.
Veuve depuis plusieurs années, Fang Xiuying, 68 ans, est née à Huzhou, dans la région du Fujian où elle travaillait comme ouvrière agricole. Elle a souffert les dernières années de sa vie de la maladie d’Alzheimer. Après avoir été hospitalisée en 2015, elle a été renvoyée chez elle pour y mourir, entourée de sa famille. Mais la mort est longue à venir…
Au nord-ouest de la Chine, les ossements d’innombrables prisonniers morts de faim il y a plus de soixante ans, gisent dans le désert de Gobi. Ils sont morts dans les camps de rééducation maoïstes. Le film nous propose d’aller à la rencontre des survivants pour comprendre qui étaient ces inconnus, les malheurs qu’ils ont endurés, le destin qui fut le leur.
Au nord-ouest de la Chine, les ossements d’innombrables prisonniers morts de faim il y a plus de soixante ans, gisent dans le désert de Gobi. Ils sont morts dans les camps de rééducation maoïstes. Le film nous propose d’aller à la rencontre des survivants pour comprendre qui étaient ces inconnus, les malheurs qu’ils ont endurés, le destin qui fut le leur.
Au nord-ouest de la Chine, les ossements d’innombrables prisonniers morts de faim il y a plus de soixante ans, gisent dans le désert de Gobi. Ils sont morts dans les camps de rééducation maoïstes. Le film nous propose d’aller à la rencontre des survivants pour comprendre qui étaient ces inconnus, les malheurs qu’ils ont endurés, le destin qui fut le leur.
Dans l'immense ville de Chongqing, le dernier des vieux quartiers est sur le point d'être démoli et ses habitants relogés. Le cinéaste se lie d'amitié avec le petit Zhou Hong et Madame Xue Lian, derniers témoins d'un monde bientôt disparu. Prix du meilleur documentaire français et prix du jury jeunes au Cinéma du réel 2017.
À peine sortis de l’adolescence, Xiao Min, Ling Ling et Lao Yeh ont des rêves plein la tête. Quittant leur village du Yunnan, ils partent grossir la main d’œuvre de Huzhou, une cité ouvrière florissante des environs de Shanghaï. Soumis à la précarité et à des conditions de travail éprouvantes, ils veulent quand même croire en une vie meilleure.
Plus de 65 millions de personnes ont été contraintes de quitter leur pays pour fuir la famine, les bouleversements climatiques et la guerre : il s'agit du plus important flux migratoire depuis la Seconde Guerre mondiale. Réalisé par l’artiste chinois Ai Weiwei, Human Flow aborde l'ampleur catastrophique de la crise des migrants et ses terribles répercussions humanitaires.
Anni a 10 ans. Son père est un dissident sous surveillance gouvernementale. La petite fille a été retirée de l’école par la police secrète pour faire pression sur son père et l’empêcher de déménager. Après avoir entendu leur histoire au journal télévisé, un petit groupe de personnes a commencé à se rassembler dans un square près de l’école pour soutenir Anni et obtenir sa rescolarisation.
Les Ta’ang, minorité ethnique birmane, sont au cœur d’une guerre civile à la frontière chinoise. Depuis début 2015, de violents conflits ont contraint des milliers d’enfants, de femmes et de personnes âgées à s’exiler en Chine.
Du port de Shanghai à sa source au Tibet, parcours du fleuve Yangtsé sur des milliers de kilomètres. Ponctuant le doux travelling, des cartons factuels et des escales rappellent la violence de l’histoire chinoise récente et la précarité de ses laissés-pour-compte.
Filmant l'existence solitaire de tout un voisinage, le cinéaste se rapproche en cercles concentriques de sa propre angoisse. Vide existentiel et aridité créatrice le transforment en un gisant paralysé chez lui par son solipsisme. Il va devoir trouver une façon de filmer "les autres" sans pour autant se cacher derrière eux.
De 2009 à 2015, HUANG Wenhai suit le travail d’activistes et de juristes qui défendent non sans risques les droits des travailleurs dans plusieurs régions de Chine. Aussi endurant qu’eux, il alterne les moments publics avec les coulisses intimes dans les appartements de ceux qui, anciens ouvriers, sacrifient aujourd’hui leur vie familiale.
Le cinéaste brésilien Walter Salles dit son admiration pour le cinéaste chinois et le suit dans sa ville natale, Fenyang : portrait intime et inédit, aux racines même de ce réalisateur passionnant, présenté par Walter Salles lui-même et en collaboration avec Jean-Michel Frodon.
Shanghai, fascinante mégalopole portuaire, a connu d’immenses bouleversements depuis 1930 : révolutions politiques et culturelles, assassinats, flux de population. Dix-huit personnes se remémorent leurs vies dans cette cité en perpétuelle évolution...
Un hôpital psychiatrique du sud-ouest de la Chine. Une cinquantaine d’hommes vivent enfermés traînant leur mal-être du balcon circulaire grillagé à leur chambre collective. Ces malades, déviants ou opposants, éprouvent au quotidien leur résistance physique et mentale à la violence d’une liberté restreinte. Wang Bing nous plonge dans la « folie » de la Chine contemporaine.
Les méthodes pédagogiques utilisées pour éduquer nos enfants ne sont-elles pas dépassées ? De la France à la Chine, de l'Allemagne aux États-Unis, "Alphabet" questionne un système éducatif qui privilégie la performance au détriment de la créativité.
Trois jeunes sœurs vivent dans les montagnes du Yunnan, une région rurale et isolée, loin du développement des villes. Alors que leur père est parti en ville pour chercher du travail, Ying, 10 ans, s’occupe de ses sœurs Zhen, 6 ans, et Fen, 4 ans. Wang Bing observe et accompagne durant plusieurs mois leur vie quotidienne.
Le règlement de sécurité, récité par cœur avant chaque descente dans la mine chinoise de Sunzhuang, n’empêche pas les extrêmes périls et les accidents, souvent mortels, que le réalisateur a filmé ici. À la surface, les femmes attendent ou pleurent leurs morts. Ce film a obtenu une mention spéciale du jury au Festival Cinéma du Réel 2015.
Quand Zhang Mengqi interroge les anciens de son village sur la famine de 1959-61, son projet de mémorial réveille les souvenirs mais aussi le déni... En sélection officielle, compétition internationale, du festival Cinéma du réel 2013. ATTENTION LE FILM N'EST DISPONIBLE QU'EN VERSION ORIGINALE SOUS-TITREE EN ANGLAIS
L'hiver en Chine. Une ville enneigée. Le jour tombe. Enveloppée dans son manteau, une femme s’avance lentement. Elle traverse une cité puis rentre dans son modeste appartement. Fengming s’installe au creux du fauteuil de son salon. Elle se rappelle. Ses souvenirs nous ramènent aux débuts, en 1949. Commence alors la traversée de plus de 30 ans de sa vie et de cette nouvelle Chine...
Le jeune réalisateur suisse Gaël Métroz part seul, caméra au poing, sur les traces de l'écrivain Nicolas Bouvier. Il découvre que l'Orient n'est plus la terre insouciante des années 50 relatée dans « L'Usage du Monde ». En dessinant sa propre route, Gaël Métroz révèle la philosophie du voyage prônée par l'écrivain.
Une caméra fixe, cachée par le réalisateur dans sa chambre d’hôtel, enregistre la descente de policiers venus l’interroger. Les corps de ces derniers s’agglutinent dans le cadre tandis que le cinéaste les affronte avec patience et ironie. Scène absurde, geste artistique et vision politique... un court-métrage sélectionné au Festival Cinéma du réel 2013.
_TITLE