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La mort et la vie... Comme la peinture et la toile.

Marquée par le deuil et la douleur, et donc (encore plus ?) sensible à la beauté de la vie, la cinéaste japonaise pratique un cinéma de la sensation. Dans ses documentaires, comme dans ses fictions. Shara, histoire d'une double renaissance, laisse au vent et aux images furtives le soin de transporter le spectateur dans le monde intérieur de ses personnages. La Forêt de Mogari poursuit encore plus profondément le voyage. Sans rien expliquer ? C'est qu'au lieu de "montrer le cadeau", Naomi Kawase préfère "montrer le bonheur dans les yeux de celui qui le reçoit."


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