Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent

Michale Boganim : "Il n'y avait que la fiction pour pouvoir faire sentir l"invisibilité du Mal..."

Avec l'Ukraine en toile de fond, la réalisatrice avait filmé dans son premier long-métrage documentaire, Odessa... Odessa !, un monde en train de disparaître. Dans La Terre outragée, son premier long-métrage de fiction, elle suit les survivants d'une ville fantôme, anéantie par la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. "Je me suis appuyée sur des faits réels, nous explique-t-elle, mais pour composer un film qui raconterait cette présence invisible du Mal, la radioactivité, par le biais des sensations plutôt que des explications."


À voir

En ce moment

Vous avez un bloqueur de publicités activé.
Certaines fonctionnalités du site peuvent être perturbées, veuillez le désactiver pour une meilleure expérience.