Lorsque Vincent Mandel, photographe et père de famille en instance de divorce, voit surgir dans sa vie un ancien camarade de classe, tout se met à dérailler. Le voilà pris dans l'engrenage d'une machination.
Meurtre, enlèvement et chantage... Vincent vit une véritable descente aux enfers... D'après "Plender", le chef-d'oeuvre de Ted Lewis, l'auteur de "Get Carter", un rigoureux film noir porté par l'excellent duo Attal/Cornillac.
" A la suite d’une liaison aussi brève que fatale, un père de famille en instance de divorce voit débarquer dans sa vie un inconnu décidé à le détruire. De ce point de départ qui a donné naissance à de nombreux thrillers, Eric Barbier tire une mécanique de précision haletante. Chaque morceau de ce puzzle diabolique s’encastre dans celui qui l’a précédé avec une logique terrifiante.
Clovis Conillac profite d’un contre-emploi radical pour démontrer l’étendue de son registre dramatique, tandis qu’Ivan Attal se révèle formidable en mouton enragé.
Il y a, dans ce film de genre français, une sauvagerie qui risque de le couper d’une partie du grand public mais également de ravir tous ceux qui attendent du cinéma qu’il les entraîne dans une autre dimension."
Jean-Philippe Guerand, 11/01/2007
Première
"Caméra coup-de-poing, brutalité sèche et éclairs de violence: Le Serpent est d’abord un pur exercice de style et Éric Barbier bastonne le s...
"Caméra coup-de-poing, brutalité sèche et éclairs de violence: Le Serpent est d’abord un pur exercice de style et Éric Barbier bastonne le spectateur à coups de plans léchés et d’uppercuts sensoriels ultraréférentiels (Hitchcock, De Palma, Les Nerfs à vif, de Jack Lee Thompson...) Dans toute cette avalanche de néopolars français, Le Serpent est sans doute celui qui a le plus de style."
Gael Golhen
avoir-alire.com
"(...) Le serpent s’avère être une réussite d’une efficacité diabolique. Le cinéaste assimile les lieux communs du genre en les transcendant...
"(...) Le serpent s’avère être une réussite d’une efficacité diabolique. Le cinéaste assimile les lieux communs du genre en les transcendant par sa réalisation pointilleuse et sa direction d’acteurs forte. Chaque comédien y est juste, des premiers rôles - Yvan Attal et Clovis Cornillac sont tous les deux solides - jusqu’aux seconds rôles, Pierre Richard en avocat couard et Olga Kurylenko en succulente femme fatale manipulatrice, qui sont également impeccables. Chacun évite la mascarade et le ridicule grimaçant, en extériorisant ses angoisses et névroses avec un vrai talent dans le contre-emploi qui permet au film d’éviter de sombrer dans l’opposition binaire facile entre le bien et le mal. (...) Le serpent déploie donc un savoir-faire visuel et scénaristique épatant, évitant les écueuils de la duplication franchouillarde dans lesquels les Français se sont vautrés à répétition. Du tout bon donc, pour un reptile mordant et venimeux en pleine possession de ses moyens."
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