Anarchiste convaincu, Philippe Lucher travaille comme dessinateur satirique pour un journal. Il est chargé de réaliser un croquis de Clara Stuart, une vedette américaine de music-hall. Mais sa haine des valeurs bourgeoises prend le dessus et se projette dans la personnalité de la vedette. Le jeune homme finit par agresser la star à la sortie d'une de ses représentations.
Après le procès et la prison, Lucher retrouve Clara qui tente alors de vivre avec lui un amour impossible...
" Le Bonheur échappe au « théâtre filmé ». C'est du vrai cinéma, dans une narration fluide, rapide.
Dans la foule de la gare Saint-Lazare, dans la grande salle de concerts où chante Clara Stuart, dans les séquences du procès et jusque dans les scènes intimistes, la caméra s'empare de l'espace, le découpe, cerne les personnages, se déplace aussi aisément dans les décors réels que dans les décors de studio. Elle fait éclore la vérité humaine d'un anarchiste qui sort de ses théories pour découvrir le romantisme d'une star dévoilant à la fois son mensonge et sa sincérité.
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