Un documentaire retraçant les débuts de Basquiat, 1978 à 1981, à travers les mouvements artistiques, les rencontres et les événements qui l'ont inspiré.
Sara Driver revient, à travers des images d'archives rares et des entretiens, sur les débuts de Jean-Michel Basquiat, de 1978 à 1981, à l'époque où l'artiste vivait dans la rue et dormait chez qui voulait bien l'accueillir. Du graffiti aux mouvements politiques, de ses rencontres à son appartenance à un groupe de musique, la réalisatrice explore tout ce qui, dans le New York ravagé mais bouillonnant de l'époque, a pu inspirer l'artiste et former sa vision de l'art.
"En nous plongeant dans l’univers urbain dont le peintre émergea en figure de proue, ce documentaire fait revivre un extraordinaire bouillonnement artistique. [...] Ce passé, la réalisatrice Sara Driver l’a vécu elle-même : elle l’évoque comme des souvenirs de copains, l’histoire d’une jeunesse exaltée, illuminée par bien des rêves. Un émouvant hommage à l’amour de l’art tous azimuts."
Frédéric Strauss
Le Monde
"Plutôt que se reposer sur ses propres souvenirs, Sara Driver a cherché dans la mémoire de ses contemporains, qui sont aussi ceux du peintre...
"Plutôt que se reposer sur ses propres souvenirs, Sara Driver a cherché dans la mémoire de ses contemporains, qui sont aussi ceux du peintre, les traces que ce dernier a laissées. Le résultat relève plus de l’évocation magique que du portrait officiel, ce qui convient bien à l’art et à la personne de Jean-Michel Basquiat, agitateur politique et fabricant d’icônes vaudoues. On se perd dans cet entrelacs de réminiscences, de regrets et de nostalgie comme dans une longue conversation entre témoins d’un événement inoubliable."
Thomas Sotinel
Première
"Au-delà du portrait de l’artiste en jeune homme, Basquiat, un adolescent à New York est un morceau d’histoire américaine : l’effervescence...
"Au-delà du portrait de l’artiste en jeune homme, Basquiat, un adolescent à New York est un morceau d’histoire américaine : l’effervescence d’un temps où le hip-hop pointait le bout de son ghetto-blaster et où l’art de rue relevait de la revendication subversive. Une époque de liberté et d’expériences bâties sur les ruines de la génération beatnik et les rêves brisés du Flower power."
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