1922. Marcel Proust sur son lit de mort regarde des photos et se remémore sa vie. Sa vie, c'est son œuvre et la fiction prend peu à peu le pas sur la réalité.
1922. Marcel Proust sur son lit de mort regarde des photos et se remémore sa vie. Sa vie, c'est son œuvre et les personnages de la réalité se mélangent avec ceux de la fiction et la fiction prend peu à peu le pas sur la réalité. Tous ses personnages se mettent à hanter le petit appartement de la rue Hamelin et les jours heureux de son enfance alternent avec les souvenirs plus proches de sa vie sociale et littéraire. # Version restaurée en 2015
"Gardiens du temple proustien et vestales du petit Marcel, passez votre chemin : quiconque se cramponnera à son souvenir trop précis du texte perdra tout, le film et le bonheur qui en émane (...). C'est un film qui rend heureux."
Jean-Michel Frodon
Le Nouvel Observateur
"Evitant le plus souvent l'écueil du procédé pléonastique, Raoul Ruiz a réussi l'essentiel : reproduire, tout en restant lui-même, c'est-à-d...
"Evitant le plus souvent l'écueil du procédé pléonastique, Raoul Ruiz a réussi l'essentiel : reproduire, tout en restant lui-même, c'est-à-dire un cinéaste du baroque, l'univers proustien (...)."
Jérôme Garcin
Les Inrockuptibles
"Ruiz se garde de tout sentimentalisme et de tout "mélancolisme" pour insister sur la drôlerie vacharde de la description d'une société qui...
"Ruiz se garde de tout sentimentalisme et de tout "mélancolisme" pour insister sur la drôlerie vacharde de la description d'une société qui ne reconnaît plus ses propres codes."
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