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Un long métrage documentaire réalisé par Ulrike Ottinger, réalisatrice allemande, emblème de l’avant-garde en Allemagne et du pop art, sur le Paris des années 60, agité par de nouveaux mouvements artistiques et politiques.
Seul dans un village alsacien depuis une rupture amoureuse, Frank Beauvais raconte son quotidien de janvier à octobre 2016. Reclus, hormis lors de promenades très bénéfiques en forêt, il survit en revendant sur Internet disques, DVD et livres. Le monde se rappelle à lui avec les échos de l’état d’urgence...
Emmanuèle Bernheim et Alain Cavalier sont amies depuis trente ans. La romancière a écrit "Tout s’est bien passé" où elle raconte comment son père lui a demandé « d’en finir » à la suite d’un accident cardio-vasculaire. Le tournage de l'adaptation du film doit être repoussé jusqu’au printemps quand elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer.
Troisième volet de la trilogie d'Anthony Hickling, Frig raconte la fin d'un couple en trois actes : amour, merde et sperme. Convoquant la danse contemporaine, la poésie et la performance, le réalisateur livre une réflexion sur la vie, la mort et la renaissance.
Dans le Sud de la France, Jean, un acteur rattrapé par le passé, s'installe, clandestinement, dans une maison abandonnée où vécut jadis Juliette, le grand amour de sa vie. Une bande d'enfants du quartier, apprentis cinéastes, découvre la même demeure, décor parfait de leur prochain film. Jean et les enfants tomberont nez à nez, tôt ou tard...
L’arrivée de Toto le marcassin chez Madeleine, le voyage de Vincent en Inde et ses démêlés avec les singes, ou les rêves de Joseph provoqués par la machine à pression continue. Trois histoires que va partager Pierre et qui convoquent d’une manière ou d’une autre notre rapport à l’animal, à cet autre prochain... Le film a reçu deux prix au FID de Marseille, en 2017.
Domrémy, 1425. Jeannette n’est pas encore Jeanne d’Arc, mais à 8 ans elle veut déjà bouter les anglais hors du royaume de France. Inspirée des écrits de Charles Péguy sur la pucelle d'Orléans, le Jeannette de Bruno Dumont revisite les jeunes années d’une future sainte dans un film musical à la BO électro-pop-rock signée Gautier Serre, alias Igorrr et aux chorégraphies signées Philippe Decouflé.
Un film poème en 18 vagues, comme autant de scènes pour décrire Paris et ses paysages urbains traversés par un "jeune mineur étranger isolé", les attentats, les roses blanches, l'état d'urgence, le bleu-blanc-rouge, l'océan atlantique et ses traversées, les volcans, la beat-box, la révolte, la colère, la violence d’État, un chant révolutionnaire, le silence, et la joie… Rien que la joie.
Ambitieuse et déterminée, Pia, 25 ans, doit pourtant se résoudre à retourner vivre dans sa famille, après une accumulation de difficultés. Son objectif: revenir pour mieux repartir. Son frère jumeau, Sam, qui vit toujours chez leur mère, n’appréhende pas la vie sous le même angle et ne tolère pas la vision de sa sœur. Qui a tort, qui a raison ? Le droit de partir ou le devoir de rester ?
Anaïs, jeune et talentueuse actrice de théâtre, est si investie dans le rôle qu'elle travaille que sa relation avec son mentor et réalisateur devient impossible. Après une énième dispute, elle décide de tout quitter et part pour Londres marcher dans les pas de son héroïne, Sarah Kane, l'auteure de la pièce qu'elle doit jouer. À son retour en France, bouleversée, elle décide de repartir de zéro...
Daniel est un artiste plasticien qui ne trouve plus l’inspiration. Au fil de ses déambulations nocturnes, il rencontre trois filles de nuit plus folles les unes que les autres, quand il assiste à un drame… Au cœur de cette nuit surréaliste, les rêves les plus extravagants et les peurs les plus sombres de Manuela, Divine et de Candice vont se révéler...
Virgile travaille dans un abattoir à la campagne. Accompagné en permanence par son chien, Boston, le jeune homme, travailleur précaire, accompagne les bêtes vers la mort. Il sent leur souffle, leur peur, leurs angoisses...
Ça commence comme un conte de fées : il y a une reine, un roi et leurs beaux enfants, Pauline, Anaïs et Guillaume. Mais c’est plus compliqué que ça en fait... Chronique punk d'une émancipation, 'Pauline s'arrache' a été présenté à Cannes en 2015 dans la section A.C.I.D. Un film à l'énergie communicative.
Suivant un rituel bouddhiste séculaire, un moine marche à pas extrêmement lents dans les rues animées de Marseille... Par l'auteur de "The Hole" et "La Rivière", inspirée par un récit de Ch'eng-En Wu, un essai expérimental, méditation cinématographique en forme d'apprentissage à la beauté du monde, transformée, et bousculée par la rencontre avec "l'autre".
Depuis dix ans, Arthur Joffé, l'auteur de "Harem" et "Alberto express" se voit refuser ses scénarios. Son désir et son plaisir de filmer se sont décuplés. Avec une petite caméra, il se raconte alors au fil d'un vagabondage cinématographique. Les gens qu’il aime, les lumières qu’il aime, ses voyages... Réalisé sur trois années, ce Feu Sacré nous dit que filmer est bien une autre façon d’aimer.
Jean-Christophe, fils de prostituée, n'a pas connu son père. Adolescent, il se cherche, questionne sa sexualité, expérimente, parfois de façon radicale. Son existence est bouleversée le jour où il croise son père...
Bertrand, un cinéaste reconnu, travaille sur son prochain film. Celui-ci est consacré à la monstruosité dans la peinture. Il est guidé dans ses recherches par une historienne d’art, Célia Bhy, avec laquelle il entame des discussions étranges et passionnées...
Maël, quarantenaire, est traumatisé par le suicide de son amant. Poème visuel et incantatoire, le film nous transmet à travers la performance, la poésie et le dialogue, l'explosion de pensées, de sentiments, de réflexions et de rêves qui traversent Maël.
Un homme sans attaches, rescapé d'un long périple, collecte des images ivres, morceaux épars d'une identité atomisée comme les territoires qu'il parcourt. Il s'épuise dans l'étrangeté de signes, de lieux, de langues insondables. Il n'y a pas de dieu ou d'indulgence dans ses nuits, mais l'acceptation qu'il n'y a que la chair.
Les amours contrariées de Jean Cocteau et Raymond Radiguet, au début des années 20. La mort de Radiguet qui fait sombrer Cocteau dans l'opium. Un récit sous l'emprise de la drogue. Une narration dans l'esprit de Cocteau. Le tout est une comédie musicale.
Dans un studio de mixage, le cinéaste montre à une amie les images tournées dans l'appartement d'un amant perdu. C'était à Paris, station Jaurès et par la fenêtre, il pouvait voir ces clandestins, sans-papiers en transit, qui dormaient dans la rue... Au fil des images commentées, le relevé quotidien se fait réinvention des notions épuisées que sont l’amour et la politique...
De l'aube à la nuit, quelques heures dans l'existence de M. Oscar, un être qui voyage de vie en vie. Tour à tour grand patron, mendiante, père de famille, il semble jouer des rôles, plongeant en chacun tout entier. Mais où sont les caméras ?
Oscar et sa sœur Linda habitent Tokyo. Oscar survit de petits deals de drogue, Linda est stripteaseuse dans une boite de nuit. Un soir, lors d'une descente de police, Oscar est touché par une balle. Tandis qu'il agonise, son esprit, fidèle à la promesse faite à sa sœur de ne jamais l'abandonner, refuse de quitter le monde des vivants...
Irène et le cinéaste. Relation forte et en même temps pleine d’ombres. Irène disparaît. Reste un journal intime retrouvé des années après. Une fraîcheur. Une attirance. Un danger. Comment faire un film ?
Agnès Varda revient sur les plages qui ont marqué sa vie et nous offre une forme d'autodocumentaire, mélanges d'extraits de ses films, d'images et de reportages. De ses débuts de photographe de théâtre, puis de cinéaste novatrice, à sa vie amoureuse partagée avec Jacques Demy en passant par ses voyages, ses engagements, elle partage avec humour et émotion bien plus que de simples souvenirs.
En sept courts-métrages, des réalisateurs et des artistes parmi les plus visionnaires et provocateurs de leur génération font se rencontrer l’art, le cinéma et le sexe. La pornographie peut-elle alors relever du domaine de l’art ?
Le journal intime filmé du réalisateur Alain Cavalier. Les premiers plans du film ont été tournés en 1994. Les dernières images datent de 2005. Plus de dix ans de vie en cent minutes de projection...
Alors qu’il est malade d’un cancer, mon père m’annonce qu’il s’est programmé sa mort depuis longtemps. Voix et photographies s’entrechoquent pour essayer de faire sens. Une vision intime du deuil, une lettre adressée à un père décédé. Par la réalisatrice de "Les équilibristes" et "Lame de fond". Prix Qualité du Centre National du cinéma (2012).
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